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MALUS CORONARIA.
C R A B A E L E .
lcosaudiie pentagyiiie, Lum. Fani, des Rosacées, Juss.
M a i.u s c o r o n a r ia , f o l i i s la to -o v a lib u s , b a s i r o tu n d a t i s ,
s u b -a n g ü la t i s , s e r r a t i s , n it id e g la b r i s : p e d u n c u l i s c o -
r ym b o s is ; f r u c t u p a r v o , o d o ra to .
On trouve dans les forêts du nord de l’Amérique,
comme én Europe, un Pommier sauvage ; mais il n’a
pas encore été comme ce dernier soumis à la culture.
C’est cette: culture qui continuée pendant une longue
suite d’années, a donné pour résultats cette
grande variété de pommes dont le nombre , en
France, approche de trois cents. A l’exception du
District de Maine, de l’Etat de Vermont, et de la
partie supérieure de celui de New-Hampshire, on
rencontre le Malus coronaria , tant à l’est qu’à
l’ouest des montagnes^Cet arbre m’a paru cependant
plus multiplié dans les Etats du milieu , et
notamment dans les parties reculées de la Pensyl-
vanie et de la Virginie. Il est surtout fort commun
dans les Glades. On appelle ainsi, dans la Pensylva-
nie , un espace de terrain de i 5 à 18 milles ( 25à 3o
kilom. ) en diamètre , qu’on trouve après être arrivé
au sommet de l’Alléghany Ridge, et qui est traversé
par la route qui conduit de Philadelphie à Pittsburg.
La hauteur la plus ordinaire de ce Pom-
m. 9