T H E R E D M Ü L B E R R Y .
Monoeeie tetrandric , L inn. Famille des Or lies , J bss;
M o h t j s r u b r a , j o l i i s c o rd a lis ., o v a tis , a c um in a t i s tr ilo -
b i s v e . c e q u a l i t e r s e r r a t i s , s c c tb r i s , subtùs- p u b e s e e n t i—
m o llib u s ; sp ic is fe em in e i s e y lin d r tc is .
L e s limites que j’ai assignées au Tulipier, savoir ,
au Nord, l’extrémité inférieure et septentrionale du
lac Champlain, et à l’Est, les bords de la rivière
Connectîcut, peuvent, je crois,, être également considérées
comme celles, au-delà desquelles , dans cette
direction, on ne trouve plus le Mûrier rouge. Une
température modérée favorisant la végétation et la
multiplication de cet arbre , on le rencontre par
cette seule raison plus abondamment vers le Sud ;
cependant, dans les États atlantiques, il est proportionnellement
moins commun que beaucoup d’autres
espèees d’arbres, qui, comme lui, ne constituent
pas é grande masse des forêts, composées , principalement
dans les États du Milieu, de Chênes et de
Noyers de différentes sortes : le Liquidambar styra-
c i f lu c iy le Tulipier, le Sassafras, le Bouleau rouge
et les Erables sont aussi infiniment plus communs.
Le Mûrier rouge est encore beaucoup plus rare dans
la partie basse des Etats Méridionaux, que dans le
haut de ces mêmes Etats, lesquels offrent un tout
autre aspect, sous les rapports de la nature du sol
-Bars/a, dei.
M O B -U S B u b ia .