
III. Entre les divinitez Gauloifes que nous avons reprefentées en affez
/rrand nombre vers la fin du tome fécond de l'Antiquité, il n'y en a point
qui approchent dé celles-ci : nous y avons pourtant vu à la planche cLxVxVni.
un homme qui tient un gand à la main. Quant au nombre de huit, la pensée
qui vient tout d’abord efl: qu'il fe rapporte aux huit faces du temple ,
une face pour chaque divinité. Il eft difficile de pouffier plus avant feX-
phcation, à moins que quelque nouveau monument ne nous éclairciffie là-
deffus. Nous en allons voir effectivement un autre, qui marque que le
nombre de huit étoit conlàcré pour les divinitez Gauloifes".
IV. Les ornemens qui font au-delïous de l’entablement.ne meritcnt pas
d être oubliez, quoique félon toutes les apparences ils ne lignifient rien
& cpi’ils foient partis d’une imagination bizarre : le lecteur ne fera point fâché
de les voir ici. Ce font des têtes fort extraordinaires & fort variées,qu’un
coup d’oeil fait d’abord remarquer.
I I I . Inter nunjina ilia Gallica 5 quæ fat mao-no
numéro in fine fecundi Antiquitatis explanatæ no-
mi protulimus, nulla funt his aut fîmilia autaffi-
nia .Virum tarnen vidimus qui chir.pthecam manu
tenet. Quod autem numerum fpe&at , ftatim in
mentem fuccurrit, o d o ilia templi latera ad deos
o6to re ferri, ita ut unicuique fuum latus tribuatur.
Qua de re nihil ultra dicendum putamus, donee
monumentum aliquod emergat huic explicando
opportunum. Sane aliud jamjam confpe&uri Turnus
, quo fignificatur oélonarium numerum pro
numinibus Gallorum facratum fm'ffp,
I V . Ornamenta ilia quæ fub tabulato haben-
tur non prætermittenda : etfi verifimile fitiishihil
fignificari, atque ex arbitrio S c imaginatione, fic
infolentibus S c rudibus formis eaudente. elle profé
r a .