Avilez iou. Laissez cela.
Avile zaho mana he. Laissez-moi faire.
Zo v i ano m if antr iou? Comment le savez-vous?
Tsi mifantr ano. Vous vous trompez.
Ino tea no? Que voulez-vous.?
Ho mivoulang ano zaho tsi indroni. Dites que je n’y suis
pas.H
o mi fo h a no. Levez-vous.
Tea ko mivoulang ano. J ’ai quelque chose à vous dire.
Tsi tea ko. Je n’en veux point.
Zaho tehinem ombe be. Je meurs de faim.
Zaho tehinem. J ’ai bon appétit.
Mahou me ho ano naho zaho homann. Donnez-moi à
manger.
Mana he no koua tea no. Faites-moi ce qu’il vous plaira,
/«o a«o ma««.? Qu’avez-vous?
O raha tsara! Voilà de belles choses!
Zahdi av ho mis sangann. Allons-nous promener.
Ano mahdi. Cela dépend de vous.
Iou zaka. Cela est juste.
Mandhan ho indroni. Allez par-là.
Zaho dis sak ; zahaï mandr mandr; zaho dissak be be. Je
suisfatigué; reposons-nous un peu; les forces me manquent.
Ho zahdi andhann; massou androu mandriandri. Allons-
nous en ; le soleil se couche.
Aïza tomera no ? Où demeurez-vous ?
Marini marini. Ici tout près.
Zaho ho mandhan ano sahali. J ’irai vous rendre ma visite
au premier jour.
Iou to. Cela est vrai.
Zaho tsi baroko koua. Je crois que non.
Baroko ho ano ; zaho mivoulang to. Croyez-moi, je dis
vrai.
Zaho maniakon raha be be. Je vous souliaitc toute sorte
de bien.
Tsiar! Dieu m’en préserve !
Ratchi iou. Cela fait pitié.
Ho zanhar Hatzerizon ano? Que Dieu vous conserve?
Ho mana hi no raha no. Mêlez-vous de vos affaires.
Ho malilou no. Vous vous en repentirez.
Ho mandhan ano aloa nahe. Otez-vous de devant moi.
Ino mivoulang olon ? Que dit-on ?
Ino ano baroko ? Que vous en semble ?
Zaho av mit salama ano, zaho naha to no, zaho mitoura
no. Monsieur, je viens vous rendre mes devoirs, et vous assurer
de mon obéissance. Zaho manazar! fe a zaho mahita
no, zaho mangaloulouts ano abi abi raha ko, zaho tonkona
be tsi mavande no av ko mivoulang ame no ra ko, aman
zaka, manompo no rarae no. Zaho ratsi mivoulang anahe
koua. Quel bonheur pour moi d’avoir l’honneur de vous
voir? — Je vous offre de bon coeur tout ce qui dépend de
moi. — Je suis bien persuadé de votre sincérité. — Je suis
venu pour vous parler de mon affaire et vous prier de me
protéger. — J ’aurai soin de vos intérêts comme des miens
propres; je donnerai tous mes soins pour vous. — J ’espère
tout de votre crédit et de votre bonne volonté. — 11 est inutile
de m’eu parler davantage.
Abi olon mitea teng. Chacun pense à soi.
Izon tsimbou be. C’est une grande sottise.
Ranon manghe manahe ranon be. Les petits ruisseaux l'ont
les grandes rivières.
Zaho saganon amini abi. Je m’accommode de tout.
Olon vignets. C’est un homme colère.
Isizanhfivoulangtsara. Ces façons de parler sont en usage.
Iou tsi to. Ce sont des faussetés insoutenables.
lou to be. C’est une vérité Incontestable.
Zaho mahita zann sarout. J ’y vois des difficultés insur-
moutaMes.
Zaho m fa n tr iou bebe. Je connais toutes les circonstances
de cette affaire.