
que basi pilis albis. Çlàrk, trans. o fth e Litm. soc. 3. p. 3a8.
t. a3. f. 18— ig.
* , (Estrus veterinus, Fat). (Estais nusalis, Linn.
(Estrus veterinus, Qli v; dict. n.° 8.
Habite èn Europe. Sa larve vit dans l’estotnac et les intestins
des chevaux. On croit que ç ’ëst à cëtte espèce tju’i'l faut rapporter
l ’habitude de déposer ses oeufs sur le bord de l ’anus
des chevaux.
5f QÊstre d u piouton. GEstvus ouïs.
(E' alis pellueidis , basi putietàiisy abdominc albo nigroque yctsi-
colore.
CEstrus ouïs. Lin. Oliv. dict. n.° U,.
Clark, Act. Soc. Lin. 3. p. 339. t. 3a, f. 16—
Geoff; 3. p. 436- n.° a. t. 17. f. j.
Habite en Europe, etc. La femelle dépose ses oeufs sur le bord
des narines des moutons. L a larve vit dans les 'sinus fron-ç
taux et maxillaires de ces animaux.
Etc. .»
M O U CHE . (Musca.)
Antennes à palette sétigère. Trompe charnue, à orifice
bilabié. Suçoir de deux soies réunies,
t)ëHx palpés insérés sur la trempe, Ailes écartées.
Cuillerons cachant les balanciers.
Antennce àrîiculà ültitrio suhspàtulüiô sëtigero. P tô -
loscis càrnosa, apicè bilabiaia; kausiello 'subbiseto.,
Palpi duo ad basim proboscidis.
Æoe diyaricatce. Haltères sc/uamis ohtecti,
O B SEÏt VATIONS.
Je rapporte à ce genre toutes les mùscrdês 'dont les antennes
, à palette sétigère , sont composées de deux on trois.
articles ; dont la trompe, rétractile en entier , contient un
suçoir de deux soies ; et qui ont les yeux sessiïes , les ailes
écartées , et les cuillerons cachant les balanciers.
Malgré les réductions qu’entraînent ces caractères, le
genre mouche est encore nombreux en especes , et il serait
peut-être utile de le réduire davantage si des caractères faciles
li saisir en offraient la possibilité.
Les mouches sont des insectes des plus communs , que
l’on rencontre partout, dans les maisons , dans les champs
et les bois. Elles volent avec légèreté et rapidité , et la plupart
font entendre en volant un bourdonnement monotone.
Celles que l’on voit dans les maisons , et qui y sont surtout
très-abondantes pendant l’été , sont souvent très-incommodes
, et même importunes. Elles se posent partout,
sur les viandes , sur les matières sucrees, sur les fruits , sur
les? alimens de tout genre, et les sucent avec leur trompe.
Elles salissent les boiseries , les glaces , les dorures sur lesquelles
elles déposent leurs excrémens.
Les mouches ont des antennes courtes , composées de
deux ou trois articles, dont le premier ou les deux pi e-
miers sont fort petits , et dont le dernier est allongé en palette
, avec une soie latérale , tantôt simple, tantôt plumeuse.
La trompe de ces insectes est rétractile en entier, comme,
charnue , bilabiée à son extrémité ; elle cache dans un repli
de sa partie supérieure Un suçoir qui n’a quedeux soies ,
et qui lés a probablement toutes, deux , quoîqu il paraisse
n’en avoir qu’une* C ’est avec cette trompe molle , et par
le moyen du suçoir qui est reçu dans ,sa cannelure, que 1 a-
nimal pompe les sucs dont il se nourrit.
Les larves des mouches ressemblent à des vers mous^