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E S P È C E S .
1 . Xénos de Rossi. Xenos Hossii.
ater, antennis ramis compressas, tarsis Juscis, Kirby act. SOC.
Linn. vol. XI. p. Ï t6 .
Hab. invespâgallicâ,
2. Xénos de Peck. Xenos Peckii.
X - nigro-fuscus , antennis ramis semiteretibus, dilutioribus, a llô
punctatis, ano pallida , pedibus lundis ; tarsis fuscis. K irby,
act. soc. Linn. vol. XI. p. 116. tab. 8 et tab. 9.
Hab. in polyste fuscatâ,Fabr. Amérique sept.
STYLOPS. (Stylops.)
Antennes Inarticulées à leur base, partagées en deux
branches allongées, comprimées, inégales, et dont la supérieure
est articulée.
Antennæ basi biarticulatæ , bipartitæ : ramis coin-
près sis, inoequalibus ; superiori articulato.
o b s e r v a t i o n s .
Les stylops ont des antennes fourchues comme les xénos,
mais leurs branches sont inégales, et la plus grande
ou la supérieure est articulée. .
On n’en connaît qu’une espèce. ,
E S P È C E .
1. Stylops de la mélitte. Stylops melittoe.
K irb y , act. soc. Linn. vol. XI. p. u s .
Hab. larva in corpore melittarum (des andrennes).
D E U X I È M E S E C T I O N .
Trompe univalve, renfermant le suçoir dans une gouttière
de sa partie supérieure.
Après les coriaces et les rhipidoptères , tous les autres
diptères appartiennent à cetté deuxième sectioh; car, sauf
Yoëstre dont la trompé n’ést jamais apparente, tous les
insectes de cette division, au lieu d’un bée bivalve, ont
une trompe univalve, inarticulée, en général terminée
par deux lèvres, et qui renferme le suçoir dans une gouttière
de sa partie supérieure. Il faut partagër cetté section
de la manière suivante:
* Trompe entièrement retirée dans Vinaction, quelquefo
is jamais apparente.
/i) Dernier article des antenne* sans anneaux apparens.'
(a) Suçoir de deux soies. ;
L E S M U S C I D E S .
Elles ont des antennes très-courtes, de % ou Z articles,
dont le dernier est le plus grand. Port de la mouche
commune.
La famille des muscidés , instituée par M. Latreille,
a été ainsi nommée, parce quelle comprend le genre
musca de Linné, que l’on a partagé en plusieurs genres
distincts ; mais que les rapports forcent de réunir dans la
même famille.
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