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 intermédiaire,  les  antérieurs  soudés  à leur  base,  latéraux  
 inégaux.  Ailes  longues,  la  î ” .  rémige  un  
 peu plus  courte  que  la 2e.  qui  est la plus  longue. 
 Esp.  Coracias  orientalis. —  Madagascariensis.— Afra. 
 J5.  L oriot  ( iJ^  Oriolus.  (Linn.) —   Caract.  Y.  Manuel,  
 p.  128. 
 Esp. 0.  melanocephalus.  (Linii.) —   0.  chinensis.  (Linn.)  
 Gracula  viridis.  (Lath.  supp.)  — Paradisea  aurea.  (Lath.)  
 Ceux de  Vaillent et plusieurs  espèces  nouvelles/. 
 16.  T roupiales  (2),  Icterus.  (Daud.)— Caract.  Bec plus  
 long ou comme  la tête , droit,  en cône allongé,  pointu  
 ,  un  peu  comprimé, sans  arête  distincte ,  base*s’a-  
 vaüçant entre les  plumes  du  front,  surface arrondie  
 ou  en  angle , pointe  du bec  très-acérée,  sans  échancrure; 
  bords des  mandibules plus ou moins  fléchis  en  
 dedans. Narines basales , latérales,  longitudinalement  
 fendues  dans  la masse  cornée  du  be'c,  couvertes  en  
 dessus par un  rudiment corné. Pieds médiocres, tarse  
 de  la  longueur ou plus  long que  le  doigt  du milieu ,  
 latéraux à peu près  égaux,  l'externe  soudé  à sa  base,  
 l’interne  divisé.  Ailes  longues,  les  2  premières  rémiges  
 un  peu moins  longues  que la  3e.  et  la 4*.  qui  
 sont  les  plus longues.  4 sections. 
 Esp.  Oriolus  cristatus. —  Gracula  quiscula. —  Graculata  
 barita.— L Oriolus  ferrugineus et  niger  ainsi  que  turdus  l;v-  
 bradorus,  hud'sonicus et noveboracensis.) —   (0.  americanus,  
 quianensis et viridis,  aussi tanagra militaris.) —  Fringilla p&-  
 côris,  et plusieurs nouvelles. 
 T 7.  E to urne au   (3), Sturnus. (Linn.)—*  Caract. V .  Manuel,  
 p.  i 3o.  2  sections. 
 (1)  Tous les  loriots  sont de l’ancien: continent  et  de lrOcéanique. 
 (2)  Toutes  les espèces sont  d’Amérique ,  on  peut  les sectionner en Cas$ïquest  
 Çuiscales,  Troupiales et TZmberizoïdes. 
 (3)  Les  espèces,  quoiqu’en  très-petit nombre,  sont des  denx  mondes;  les  formes  
 principales  ne  varient  pas  d’une  manière  marquante  ;  l1 Amblyrantphns 
 D’ORNITHOLOGIE.  lv 
 Esp. Amblyramphus.  (Leach.) Sturnus capensis.  —   Ludo-  
 viciatius. —  Militaris.— Carunculatus. 
 18.  Martin  ( i ),   Pastor.  (Temm.) —   Carac.  Y.  Manuel,  
 p.  135.  2  sections. 
 Esp.  Gracula  calva.— (Pastor musicus  (Temm.)  Voyez  
 cette  espèce  Dict.  d’hist.  nat.  N.  19 ,  pl.  G.  sous  la  
 faux  nom  de  mainate religieux.)—   Gracula  tristis. —  Cris-  
 tatolla.  —   Sturnus  gallinaceus.  —   Turdus  pagodarum.  —   
 (Turdus  leucocephalus  et  Sturnus  sericus.) 
 1 9 .   O ise au   d e  p arad is  ( 2 ) , Paradisea.  (Linn.)— Carac. Bec  
 médiocre,  droit,  quadrandulaire, pointu,  un  peu convexe  
 en  dessus,  comprimé;  arête  s’avançant entre les  
 plumes du front; pointe à échancrure à peine visible ou  
 nulle; mandibule inférieure droite,  pointue.  Narines  
 basales,  marginales,  ouvertes,  entièrement  cachées  
 par  les  plumes  veloutées du  front.  Pieds  forts ;  tarse  
 plus  long  que  le  doigt  du milieu)  latéraux  inégaux;  
 l’interne uni jusqu’à la seconde articulation ;  l’externe  
 soudé  à sa base ; pouce plus  long que les autres doigts,  
 robuste.  Ailes  médiocres,  les  5  premières  rémiges  
 étagées,  la 6e.  ou  7e.  la plus  longue. 
 Esp.  P.  apoda. —  Minor.  ( Vaill.  ) —   Sa ngninea.  (Shaw.)  
 —  (Magnifica  et cirrhata.)—  Regia.—  (Suberba  et  furcata.)—   
 Sexetacea,  sont toutes les espècesqui appartiennent à  ce genre. 
 2 0 .  S to urne   (3),  Lamprotornis.  (Temm.) —  Caract.  Bec * 1 2 3 
 tle M..Leach  est un Étourneau  par le bec et  un  Troupiale par  les couleurs  generales  
 du  plumage;  il  forme  le  passage des  uns  aux  autres. En  suivant  un pareil  
 système,  les  espèces deviendront des genres. 
 (1)  Toutes les espèces  sont de  l’ancien  continent. 
 (2)  Toutes  les  especés  sont des îles, les  plus reculées des mers  de  l’Inde.  Je  ne  
 puis classer  le Nébuleux des planches des oiseaux  de paradis de M.  Le Vaillant,  
 n ayant  jamais  vu  un  individu  parfait et entier de  cet  oiseau,  dont la véritable  
 forme dü  bec m’est  inconnue. 
 (3)  Toutes  les  espèces sont de l’ancien  continent,  le  plus  grand  nombre  d’Afrique. 
   Ils  ont  un  plumage  très-éclatant,  couvert  de  couleurs  métalliques.  Us  
 vivent  comme les Étourneaux  et  les Mariins,  mais  ressemblent  plus ou  moins  
 eux Merles par le  lice et pat les  pieds.