
 
        
         
		43e  MANUEL 
 èlérti. v.  ï*  p.  547* —  S a n d m a r t in .  Lath. Sytu  v.  4< p•  568*  
 U f e r s c h w a l b e .  Bechst.  Naturg.  Deut.  v.  3*  p.  922.  —  
 Meyer, Tasscfienb.  v.  1*  p.  278. — Friscb.  t.  18.  ƒ.  2. A .  
 —  Naum.  tf.  42.  ƒ“.  îoo. —  R o n d in s   r i p a r i a .  Stor.  deg.  
 uec.  v.  4.  pl.  408.  ƒ.  t .  —  OE y e r   z i v a l u w .  Sepp.  Nederl.  
 Vog.  v.  1.  G  j».  35. 
 Remarque. L’oiseau décrit par M. Le Vaillant, Ois. d ’A f   
 V.  5.  p.  121.  pi.  246.  f  2 .,  sous le  nom  d ’Hirondelle  de  
 marais  ou  la   brunette,  est assez probablement  la même  
 espèce  que  notre  Hirondelle de  rivage. 
 Habite  :  le  long des bords  des  rivières  et  des  digues ;  
 l’espèce  paraît  également  propre  à  l’Afrique méridionale,  
 où  elle ne  diffère point sensiblement  de  celle d’Europe. 
 Nour riture  :  mouches et autres  insectes  ailés,  qui  volent  
 au-dessus  des  eaux  et des marais. 
 Propagation : niche dans les trous des berges et des lits  
 des  rivières,  souvent  dans  les  fentes  des  rochers  qui  en  
 couvrent  les bords,  quelquefois dans les  trous  des  arbres;  
 pond cinq  ou  six oeufs  oblongs,  d’un  blanc pur. 
 H IR O N D E L L E   DE  ROCHER. 
 H I R U N D O   R U P E  STRIS .   ( L i n s .) 
 Parties  supérieures  d’un  brun  c la ir ,  d’une  seule  
 nuance,  les  rémiges  un  peu  plus  foncées;  toutes  
 les  parties  inférieures  d’ un  blanc  sale  légèrement  
 teint  de  roussâtre  sur  les  flancs  et  à  l’abdometi;  
 couvertures  inférieures  de  la  queue  d’un  brun  
 clair  ;  tarses  garnis  d’un  duvet  grisâtre  ;  queue  
 à  pennes  presque  d’égale  longueur ;  les  deux pennes  
 du  milieu  de  la  couleur  du  dos  sans  taches;  
 sur  toutes  les  autres pennes  une  grande tache  ovale  
 d’un  blanc  pur ;  ces  taches  paraissent  lorsque  fo i- 
 Seau  étale  la  q u eu e ,  se  trouvant  placées  sur  les  
 barbes  intérieures  près  du  bout  des  pennes;  iris  
 couleur  aurore;  bec  et  pieds  bruns.  Longueur, 
 5  pouces  2  lignes.  L e  v ieu x   des  deux  sexes. 
 H irundo  RUPESTRis.Gmel.  Syst.  1.  p-  1019.  sp.  20.  
 Lath.  Ind.  v.  2. p.  576.  sp.  11. — L ’H ir o n d el le   g r is e   d e s   
 ro ch e r s .  B u f f .  Ois.  v.  6.  p.  641. —  G é r a rd .  Tab.  élém.  
 v.  1 .   p.  34g. —   R o c k   sw a l l o w .  L a th   Syn.  v.  4 -  P •  $ 6 9 ,   
 e t   p r o b a b l em e n t   a u s s i  H irund o  Mon tan a.  G m e l .   p■  1020.  
 sp.  21.  —   Lath.  Ind.  v.  2.  sp.  12.  « - H irund o  montana  
 C AUD A  NON  FURCATA.  S tO T .  d t g .   UCC.  V .  4 -  p l .   4 ° 9 ‘  f '■ 
 G r a g   s w a l l o w   and r o c k   s w a l l o w .  Lath. Syn.  v.  4* P-  569  
 et  070.  sp.  11. 
 Les jeun es  de  Vannee,  ont  toutes  les  plumes  du  
 manteau  et des  ailes  bordées  de  roussâtre  clair;  la  
 gorge  est  blanchâtre  avec'  quelques  petits  points  
 plus  foncés ;  toutes  les  autres  parties  inférieures  
 sont  de  couleur  roussâtre  ou  isabelle ;  le  plus  souvent  
 quatre  pennes  du  milieu  de  la  queue  sans  
 taches ;  la  tache blanche  des  pennes  latérales  beaucoup  
 plus  petite  que chez  les  vieux.  C’est  a lo r s , 
 H ir o n d e l l e   f a u v e .  Vaill.  Ois.  d’Afriq.  v.  5.  p.  120. 
 pl,  246.  f.  1. 
 Habite  :  les rochers  escarpés des contrées méridionales  
 de  l’Europe;  abondant  le  long  des  bords  de  la  Méditerranée  
 ;  commun  en  Savoie  et dans  le Piémont;  moins nombreux  
 en Suisse, rare en  Allemagne , de passage dans quelques  
 départemens méridionaux de la France.  Les  individus  
 d’Afrique  et  ceux  de  l’Amérique  méridionale  ne  diffèrent  
 presque point. 
 Nourriture: mouches  et  autres  insectes  volans.