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 naire;  les  couleurs  du plumage  faiblement  tracées ;  
 une  partie  du  corps  blanche  ou  tapirée  de  plumes  
 blanches. Tout  le  plumage  noirâtre  ou  plus sombre  
 qu’à  l’ordinaire ;  souvent  les  pieds  rouges.  C’est  
 alors,  F r INGILUA  ARGENTORATENSIS.  Gmel.  SjSt.  
 i . p .  918.  sp.  69.  —   Lath.  Ind.  v.  1 . p .  460.  sp.  
 87.  L e  G e w t y l   d e   S t r a s b o u r g .  Buff,  Ois.  v.  l\.p.  
 78.  Gérard.  Tab.élém.  v.  1 . p .  194. 
 La  fem elle,  qui  ne  change  point  de  couleurs  
 après  l’état  d’adulte,  est  plus  petite  que  le  mâle;  
 toutes  les  parties  supérieures  d’un  cendré jaunâtre,  
 parsemées  de  tâches  d’un  brun  noirâtre ;  les  couvertures  
 des  ailes  d’un  brun  roux  terne ;  parties  
 inférieures  d’un  roussâtre  clair,  mais  blanchâtres  
 sur le milieu  du ventre,  et parsemées  sur  la poitrine  
 et  sur  les  flancs  de  nombreuses  taches  d’un  brun  
 noirâtre. 
 Les jeunes  mâles ju squ ’au printemps  ,  ont  le  
 sommet  de  la  tête  et  le  dos  d’un  brun  roussâtre,  
 marqué  de  taches  lancéolées  d’un brun  foncé; joues  
 et  nuque  cendrées ;  toutes  les  parties  inférieures  
 d’un  blanc  légèrement  roussâtre,  marquées  sur  le  
 milieu  de  la  gorge  et  sur  la  poitrine  de  taches  Ion*  
 gitudinales d’un bruiLfoncé ;  sur  les  flancs  de  larges  
 taches  d’un  brun  roussâtre,  et  sur  les  couvertures,  
 de  la  queue,  de  larges  taches  lancéolées, noirâtres ;  
 pieds  couleur  de  chair;  base  du  bec  d’un  bleu  liv 
 id e ;  c’est  alors,  Meyer.  Vog.  Heft.  t f .   3 .  et  
 Frisch.  Vôg.  Deutschl.  t.  <ÿ.f.  A   et B. 
 Remarqué.  Les variétés  du  jeune, décrites  par  Meyer, 
 yons la  lettre c ,   et celle  de la  lettre c,  doivent être rangées  
 avec  l’espèce suivante. 
 Les  vieux y  mâle  et fem elle. 
 Frtngiïxa  cannabina.  Gmel.  Syst.  1.  p.  916.  sp.  28.—   
 Lath.  Ind. v. i .p.  458. sp. 82.— Retz. Faun. Suec. p.  247.  
 n°.  226. —  L a  grande  Linotte  de  vignes.  Buff.  Ois.  v.  t\.  
 p.  58. —   Id.  pt.  enl.  485.  f   1.  lé mâle prenant sa parure, 
   et  pl.  enl.  i 5i.  f   2.  le  très-vieux mâle  ;  (sous  
 le  faux nom de petite  linotte de vignes*. —  Id.p l.enl.  i 5i.  
 f.  1.  une  Linotte fenteüe,  ou bien le mâle en automne.  
 Gérard.  Tab.  élém.  v.  1.  p.  190. —   Greater  red  headed  
 xinet  OR  redpole.  Lath.  Syn.  v.  3 .  p.  304. —   Id.  supp.  
 p.  176.  —   Beuthanfeing.  Bechst.  Naturg.  Deut.  v.  3.  
 p.  141. —  Id.  Tasschenb.  p.  121. — Meyer,  Tasschenb.  
 v.  il p.  i65. —  Id. Vôg. Deut.  v.  1 . 1.  f.  1  et 2. —   Frisch,  
 Vôg.  t.  9.  f.  1  et  2. —   Naum.  Vôg.  t.  5.  f.  10.  vieux  
 mâle,  et f.  n .   femelle. —  Vlasvink.  Sepp.  Nederl.  Vog.  
 v.  2.  t.  p.  157.  —  Montaneixo maggiore.  Stor.  deg. ucc.  
 v.  3. pl.  557.  f.  1. 
 Habite  :  dans les lieux montueüx ,  dans  les  vignobles ,  
 les  taillis  et  à  la  lisière  des bois ;  moins  souvent dans  les  
 haies  et dans  les  buissons ;  très-abondant  en  Hollande. 
 Nourriture :  graines  de  plantain,  de  dent-de-lion,  de  
 navette,  de  choux,  de  lin  et  de  chanvre;  en  hiver,  l’intérieur  
 des boutons des chênes  et des peupliers. 
 Propagation  :  niche  indifféremment,  dans  les vignes,  
 dans  les  buissons,  dans  les charmilles  et  dans  les  haies  ;  
 pond  de  quatre  à  six  oeufs,  d’un blanc  bleuâtre  avec  des  
 points et des petites raies couleur de chair. 
 *  La  description  du  Sizerin,  dans  laquelle  Buffon  a  cité  sans  
 doute  par  erreur  cette pl.  201. ƒ   a,  appartient au  Fringilla  linaria;  
 et  il  aurait  dû  citer,  dans'1 cette  description  du  Sizerin,  celle  du  
 Cabaret., pl. 485. f .   a.