
les étits mn r* • en ^riaiee;pe,uro ucovmé mpaurn dans
Hongrie P0',,a'ns’ “ » ? “ * * * midi de h
Remarque. l ’individu envoyé par Pilh, a***
r. ien de ceux tués 1p rès dee iN' 3aPnlelSe- sVvllt tOUlOUrs SUrd Ilffère Cn ps irvnn
tagnes, et ne se montre que l’hiver dans les plaines
Jmen^t auOssi eSn hSiver de sCe°mmemncee sIC.S Précédentesi probablePropagation
: inconnue.
(VV* v%«v%v»'» w v \ »
G E N R E N IN G T E T U N I È M E.
B E R G E R O N N E T T E . — M O T A -
C l f f A . ( L a t h .)
ec droit, grele, en forme d’alêne, cylindrique
anguleux entre les narines; mandibule inférieure
forcis comprimés. Na m & b , basales, latérales
pV° 1 ef ’ a mo,ttlî fermées par une membrane nue.
' “ s a ^rse du double plus long que le doigt du
nubeu; trois doigts devant et un derrière; l’extérieur,
soudé à la base à celui du milieu; l’ongle du
doigt de derrière plus long que ceux de devant
qui sont très-petits. Q ueue très-longue, égale ho-
rizontale. A iles , i™. r é a ig e la plus
°ngue, lu n e des grande couverture aboutit à l’ex-.
tremité des rémiges,
LeSBergeronnetteslavandières oulloche- queues, virent
habituellement dans les lieux à découvert, jamais.
D’ORNITHOLOGIE. 253
dans les forêts ou dans les jonchaies; on les voit le plus
souvent dans les prairies où elles accompagnent les bestiaux
; souvent aussi le long des bords graveleux des fleuves;
elles remuent sans cesse la queue de haut en bas, et
nichent dans les herbes, sous des tas de pierres ou dans
des trous. Ces oiseaux que l’on a eu tort de confondre avec
les Becs-finsj muent deux fois, au printemps et en automne
: ce n’est que durant la saison des amours que les
mâles. diffèrent des femelles; après la mue d’automne, il
est difficile de distinguer les sexes, et les jeunes de l’année
ressemblent alors aux vieux. La double mue ne change
les couleurs du plumage qu’au cou et dans quelques espèces
à la tête. Les oiseaux de ce genre paraissent n’habiter
que l’ancien continent; car l’espèce de MotacUla
hudsonioa, Lath., semble ne point appartenir à ce genre.
BERGERONNETTE LUGUBRE.
M O T A C I L L A LU G U BRI S . (Pa r l a s .)
Du noir très-profond règne depuis le milieu du
crâne sur toutes les parties supérieures du corps
et sur les 8 pennes du milieu de la queue ; la poitrine
et la gorge sont aussi d’un noir profond; le
front, la région des yeux et des oreilles, le ventre
, l’abdomen et les deux pennes latérales de la
queue, sont d’un blanc pur; les flancs sont d’un
cendré noirâtre, et souvent d’un noir parfait; les
ailes sont de cette couleur , mais leurs couvertures
sont bordées extérieurement de blanc pur ; b e c ,
pieds et iris noirs. Longueur, à peu près y pouces.
Le mâle et là fem elle en plumage parfait d’été.
Remarque. Les individus envoyés de Russie par le professeur
Pallas, sont dans cet état de plumage; ils ne dif