
m a n u e l
L a fem e lle , a le sommet de la tête d un blanc
lustré ou argentin, varié de fines raies noires, e
v ieu x mâle, a le jaune de la tete plus vif; il a plus
de blanc sur les parties inférieures, mais ce blanc
toujours rayé transversalement de noir.
Picrs TRiuACTTitJS.Gmefi Syst. i. p. * ^ * * T * £
Ind. v . i .p . *43-SP‘ 56' - PlCüS HIKSOTDS: v SU V * >: p' «• ri ** " r T n t f c Norther three- toad svoodpecker. Edw. Gian. t . g g g
mâle*— Lath. Syn. v . 2. P. 6o o . - I d . s w p p . * **• P*
Dreuehiger speght. Bechst.
— Meyer,Tasschenb. v. 1. p- ia 5 - Naum. F g-
t . 41. ƒ. '81. figure très-exacte. — Picchio a tre - dit a.
Jta» cfcÿ. wcc. v. 2. p<- »80.
H e w u e . L’ Épeiche, ou Pic varié onde de Buffon,
7 « 78, est une description qu’on doit exclure de a
liste "d^s” synonymes du pic de cet article ; sa pi. mi. n .
553 Représente un pic à quatre doigts, et ne doit egalement
noint faire nombre des citations. . .
P t e , individus rapportés de l’Amérique septenfnonale
sont un peu plus forts de taille, et les couleurs sont plus
Haute, : le? vastes forêts en montagnes du nord de l’Europe
de l’Asie et de l’Amérique; très-abondant en Sibene ,
a s s e z commun sur les Alpes delà S S Ë l
en Allemagne, où il ne passe qu’.ecidentellement, jam
en Hollande.
nourriture : larves de différentes espèces de charançons
et des insectes ; aussi les baies de l’aubepine.
Propagation : niche dans le nord et en Suisse dans ta
trous naturels des arbres ; pond quatre ou cmq oeufs d un
L l n o i n o
g e n r e t r e n t e e t u n i è m e .
T O R C O L . — YUN X . (L ia s . )
Bec court, droit, en cône déprimé, effile vers la
pointe ; arête arrondie; mandibules sans échancrures.
Narines basales , percées <lans les bords concaves
de l’arête, nues , en partie fermées par une membrane.
Pieds, deux doigts devant soudéj à leur
origine, deux derrière divisés. Ailes médiocres,
la i re. rémige un peu moins longue que la ae. , qui
est la plus longue.
Ces oiseaux n’ont point, comme les pics, l’habitude de
srrimper en s’élevant contre les arbres-, le peu de fermete
des pennes de la queue rend ce mouvement d’ascension
impossible; ils se contentent de se cramponner aux troncs
des-arbres pour saisir entre les fentes de l’ecorce les fourmis
et d’autres insectes dont ils se nourrissent; leur langue peut
s'allonger comme chez les pics; on les voit le plus souvent
à terre, grimpant sur les dômes des nids de fourmis. M._Gu-
vier dit que le nom de notre torcol d’Europe vient de la
singulière habitudequ’il a, quand on le surprend, de tordre
son cou et sa tête en différons sens. La mue n'a lieu qu une
fois; les sexes et les jeunes $e ressemblent au point qu U
est difficile de les distinguer.
TORCOL ORDINAIRE.
Y U N X T O R Q U I L L A . ( L u i s . )
L e fond du plumage des parties supérieures d’un
cendré roux, taché irrégulièrement de brun et de
noir; une large bande brune s’ étend depuis l occi