
aSa MANUEL
*— Bi'it. Zool. p. 93. t. S. 2. ƒ! 7 . — F e ed e e r ch e . Bechst.
Naturg. Deut. v. 3. p. j 55. — Meyer, Tasscheni). B tut.
v. 1. p. 2 6 0 .— Frisch. t. i 5. f. 1. — Naum. t. 6. f. 6 . it
mâle.
Remarque. La prétendue Girote des auteurs ne me
semble qu’une variété accidentelle, et peut être simplement
un jeune oiseau varié dans l’espèce de Y Alouette des
champs ou du L u lu ; toutes ces prétendues Giroles que
l’on m’a fait voir, n’étaient que des variétés de notre
Alouette commune, ou bien de Y Alouette lulu. En attendant
que le fait s’éclaircisse, je donne ici la synonymie
de cette Girole. —■ Aeaeda i t a e i c a . Gmel. Syst. 1. p. 793.
sp. i 3. — La G ir o e e . Buff. Ois. v. 5. p. (\q.— Gérard.
T ah. élém. v. 1. p. 652.
Habite : toutesjes parties de l’Europe jusqu’en Sibérie,
également en Asie et dans les parties septentrionales de l’Afrique
, mais point dans les parties méridionales de ce
vaste continent. "Vit dans les champs.
Nourriture : insectes et lèurs larves, ainsi que plusieurs
sortes de semences et de graines.
Propagation : niche à terre; pond quatre ou cinq oeufi
grisâtres tachés de brun.
ALOUETTE LULU.
A L A U D A A R B OR E A . (L i a s .)
Plumes de la tête plus longues que dans les autres
espèces, mais point acuminées, comme dans le
Cochevis ; queue plus courte. Parties supérieures
d’un cendré roussâtre avec du brun noirâtre sur
le milieu des plumes; une bande blanchâtre passe
au-dessus des yeux et entoure l’occiput ; sur les
joues qui sont brunes, est une tache triangulaire
blanchâtre; les parties inférieures d’un blanc trèslégèrement
teintes de jaunâtre, mais variées sur le
devant du cou et sur la poitrine de taches longitudinales
; couvertures des rémiges terminées de
blanc ; pennes secondaires échancrées et terminées
par un peu de blanc ; penne extérieure de la queue
grisâtre bordée de blanc, les trois suivantes noires
terminées de blanc pur ; ongles jaunâtres. Longueur,
6 pouces.
L a ƒemelle, a toutle blanc des parties inférieures
plus pur et sans nuance jaunâtre; le trait au-dessus
des yeux plus marqué, et les taches de la poitrine
en plus grand nombre.
Varie accidentellement, comme l’alouette vulgaire.
Aeatjbà arborea. Gmel. Syst. 1. p. 795. sp. 3. — Lath.
Ind. v. 2. p. 492. sp. 3 . — Alaeda nemorosa. Gmel. Syst. t.
p. 797. sp. 2 1 .— Aeaeda cristateeEa. Lath. Ind■ v. 2.
p. 4 99- SP • 26. — Le Leee, e’Aeoeette des bois et ee C e-
jeeier. Buff. Ois. v. 5. p. 7 4 ^ 2 5 , ainsiquelapl. enl. 5o3.
f. 2. — Gérard. Tàb.èlém.v. i.p . 258. n9. 5, et p. 2 5 1.
n°. 2. — "Wood eark and lesser crested eark. Lath. Syn.
v. 4. p. 571 et 3g i . — Penn. Brit. Zool. p. 94* t. Q«
f. 3, etp. g 5. —Baem eerche. Bechst. Naturg. Deut. v. 3.
7?. 781. — Waedeerche. Meyer, Tasschcnh. Deut. v. 1.
p. 262. — Frisch. Vôg.t. i 5. f. 2. A .— Naum, t. 6. f. 7.
le mâle.
Remarque. Les différentes indications de BufTon , que
Gérardin a si soigneusement copiées, appartiennent indubitablement
à VAlouette lulu; on doit cependant observer
de ne point admettre comme synonyme la pl. enl. de
Buff. n". 660. f. 2 ; l’oiseau représenté sous le nom de Cuje-
G'er est une figure très-exacte du Pipit farlouse. tandis que