
 
        
         
		queue  d’un  Liane  pur,  quelquefois  avec  les  ailes 
 noires ;  le  reste  du  plumage  comme  à  l’ordinaire. 
 Plumage  de printemps  et d'été. 
 M o t a c i e e a   a e b a .  Gmel.  Syst  x.  p.  960.  sp.  11. — Lath.  
 Ind.  v.  2. p.  5oi.  sp.  1. — L a   L a v a n d iè r e .  Buff.  Ois.  v.  5.  
 p.  2 5 i .  t.  x4-  f   4. —  Id.  pt.  enl.  652.  f   1.  mâle, en ha-  
 hit de noces.— Gérard.  Tab.  élém.  v.  1.  p.  5 2 8 .— W h it e   
 w a g t a i l .  Lath.  jSyn.  v.  4-  p.  3g5. —  C i j t r e t t o e a   c x n e r e a .  
 Stor. deg.  ucc. pi.  3 8 4 *   ƒ•  2 . —  "VVe i s s e   b a c h s t e e z e .  Meyer,  
 Tasschenb.  Deut.v.  1. p.  216.— Id.  Vôg. Deut. Heft. 3.  
 mâle,  femelle et jeune. — Frisch.  t.  23. f. 2. A .—'Naum.  
 Vôg.  t.  3g.  f.  86. —  K w i& s t a a r t .  Scpp.,  Nederl.  Vog.  
 t.  v.  2.  p,  11g. 
 Plumage  complet d ’hiver. 
 Gorge  et  devant  du  cou  d’un  blanc  pur,  sans  aucune  
 tache ;  sur la partie inférieure du cou,  se dessine un hausse-  
 col  dont  les  parties  latérales  remontent  vers  la  gorge;  ce  
 hausse-col  est  d’un  noir  profond;  tout  le  cendré  des  parties  
 supérieures  est  moins  foncé  qu’en  été;  c’est  alo'rs,  
 Buff.  Ois. pi.  enl.  652.  f.  2, mais point la  description. 
 Les  prunes,  ont  les  parties  inférieures  d’un  
 blanc  sale ;  sur  la  poitrine  un  croissant  plus  ou  
 moins  grand  d’un  brun  cendré;  toutes  les  parties  
 d u n   cendré  terne.  Les  jeunes  du  printemps  
 commencent  à  prendre  en  automne  la  livrée  des  
 adultes;  ceux  de  la  seconde  couvée  quittent  nos  
 climats  dans  la  livrée  du  jeune  â ge ,  et  reviennent  
 même  quelquefois  dans  cet  état  au  renouvellement  
 du  printemps ;  ce  sont  alors 
 M o t a c ie e a   c x n e r e a .  Gmel.  Syst.  1.  p.  961.  sp.  79.— 
 D’ORNITHOLOGIE.  25; 
 Syevia  citfEREA.  Lath.  Ind.  v.  2, p.  502.  sp.  3. —  La  Berg 
 e r o n n e t t e   g r i s e .   Buff.  Ois. v.  4.  p.  261 ;  et  pl.  enl.  674.  
 f i .  —  Gérard.  Tab.  élém.  v.  1.  p.  332. —  Naum.  Vôg.  
 t.  39.  f.  87. 
 Habite :  les  prairies  sur  le bord  des eaux ,  dans les  villages  
 et  dans  les  villes,  sur  les  tours  et  les  clochers.  Vit  
 jusque  dans  les  régions  du  cercle  arctique. 
 Nourriture : mouches, cousins,  phalènes,  petits limaçons, 
  mille-pieds,  et  autres  insectes  et  leurs larves. 
 Propagation :  niche  dans  les  prairies,  entre  les  fentes  
 des  rochers,  sous  les  ponts,  dans  les  tours  et  dans  les  
 trous des arbres;  pond jusqu’à  six oeufs,  d’un blanc  bleuâtre  
 moucheté  de  noir. 
 BERGERONNETTE  JAUNE. 
 MO.TACIL LA  BOARULA .   ( L i n n .) 
 Parties  supérieures  cendrées  ;  croupion  d’un  
 jaune  olivâtre  ;  au-dessus  des  yeux  et  sur  les  parties  
 latérales  de  la  gorge  une  bande  blanche  ;  
 gorge  d’un  noir  profond;  les  autres  parties  inférieures  
 d’un jaune  clair;  ailes  et  les  six  pennes  intermédiaires  
 de  la  queue  noires,  bordées  de  blanc  
 et  d’olivâtre  ;  des  trois  pennes  latéi’ales  de  la  
 queue  ,  l’extérieure  est  entièrement  blanche  ;  les  
 deux  autres  sontnoires  sur  les  barbes  extérieures.  
 Queue  de  2  ;  pouces,  plus  longue  que  l’extrémité  
 des  ailes.  Longueur,  7  pouces  3  lignes.  L e   vieux  
 mâle  en  plumage  de printemps. 
 L^es femelles  et  les  mâles  apres  leur  mue  d ’automne, 
   n’ont point  la  gorge  noire;  cette  partie  est  
 d'un  blanc  légèrement  teint  de  rougeâtre ;  le  trait  
 Partie  1“ .  17