
 
        
         
		le  centre  des  plumes  du  dos  et  des  couvertures  
 alaires  ;  grandes  et  petites  couvertures  et  pennes  
 des  ailes  noirâtres  bordées  de  roussâtre ;  à  l’extré-  
 mité  des  moyennes  couvertures  une  petite  tache  
 d un  jaune  blanchâtre ;  flancs  et  croupion  d’un  gris  
 roussâtre  ;  couvertures  inférieures  de  la  queue  
 brunes  avec  une  large  bordure  blanche  ;  ventre  
 blanc ;  queue  d un  brun  terne.  Longueur,  5  pouces  
 3  lignes. 
 L a  fem e lle   a  plus  de,  taches  brunes  sur  le  haut  
 de  la  tête.  , 
 Motacieea  moduearis.  Gmel.  p.  g 52.  sp.  3.  —   S ylvia  
 moduearis. Lath. Ind. v.  2.  p.  5n .   sp.  i 3. —  S ylvia  schæ-   
 nobanus.  Lath.  Ind.v.  2.  p.  5io .  sp.  10.  L e  Mouchet,   
 T raîne-buisson  ou Fauvette d’hiver. Buff.  Ois. v.  5. p.  i 5 i . 
 Id. pi. eni. 615.  f.  1.— Gérard.  Tab.  élém.  v.  i.p.  3 10. 
 F auvette  de  bois  ou  R oussette.  Buff.  v.  5.  p.  1 3 9 .__ 
 Gérard,  v.  1 . p.  3o 3. — Sonn.  édit, de Buff.  v.  i 5.  p.  120.  
 t-t les notes.  —   Hedged  sparrow  and  red  W arbler.  Lath.  
 Syn.  v.  4.  p.  4>8  et  4 19 .  sp.  7 et g.— Brit. Zool.  t.  S.  1 .  
 /•  3 et  4.  S chieeer brustiger  S anger.  Meyer, Tasschenb.  
 Deut.  v.  1.  p.  245 .  —   Frisch.  t.  2 1 .  f.  2.  B.  —   Naum.  
 t.  i 3 .  f.  32. — De W inter  zanger.  Sepp,  ISederl.  Vog.  
 v.  4 -  t. p.  404. 
 Remarque.  M.  Cuvier, Règ. anim.  v.  1.  p.  368,  a  fait  
 la  juste observation  que  la Sylvia modularis rangée  jusqu  
 ici  avec  les  becs-fins,  doit  plutôt  être  placée  avec  les  
 Accenteurs ,  vu  qu’elle  a  le  même  bec  et  la  même  manière  
 de  vivre  et de  se  nourrir.  Cette  novation  est  peut-  
 être  la  seule  bien  vue  de  toutes  celles  faites par M.  Koch,  
 Zoologie de Bavière. 
 Habite  dans  presque  toutes  les  parties  tempérées  de 
 D’ORNITHOLOGIE,  
 l’Europe,  même  for t   avant  dans  le nord;  seulement  pendant  
 l’hiver  dans quelques parties de  la  France. 
 Nourriture ;  vers,  insectes,  chenilles  et baies ;  en  hiver  
 toutes sortes  de  semences. 
 Propagation :  niche  dans  les  taillis  des  forêts ;  pond  
 cinq  ou  six  oeufs  d’un  bleu  d’azur. 
 ACCENTEUR  MONTAGNARD. 
 A C C E N T O R   MON T A N E L LU S .   (M i h i .) 
 Un  capuchon  d’un  noir  profond  couvre  la  tete  
 et  l’occiput ;  une  très-large  bande  également noire  
 passe  au-dessous  des  yeux,  et  couvre  1 orifice  des  
 oreilles ;  un  large  sourcil  jaunâtre  prend  son  origine  
 à  la  racine  du bec, et  aboutit  a  la nuque ; parties  
 supérieures  du  corps  et  scapulaires  d un  cendré  
 rougeâtre,  marqué  de  grandes  taches  longitudinales  
 d’un  rouge  de  br ique;  ailes  d un  cendré  
 brun  bordé  de  cendré  rougeâtre ;  deux  rangées  de  
 petits  points  jaunâtres  forment  sur  1 aile  une  double  
 bande;  queue  d’une  seule  teinte  brune  ,  mais  
 les  baguettes  d’un  brun  rougeâtre;  toutes  les  parties  
 inférieures  d’un  isabelle  jaunâtre,  varié  sur  la  
 poitrine  de  taches brunes  et  sur  les  flancs  de  taches  
 longitudinales  d’un  cendré  rougeâtre;  base  du  bec  
 jaune,  pointe  brune;  pieds  jaunâtres.  L on gu eu r ,  
 5  pouces  3  ou  4  lignes.  Le  vieux  male. 
 L a   femelle  a  du  brun  noirâtre  sur  la  tete,  sur  
 l’occiput  et  à  l’orifice  des  oreilles ;  pour  le  reste,  
 k  elle ne  diffère  presque  point  du male. 
 Habite  1  les  parties  orientales  du  midi  de  1 Europe,