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 t.  4•  f   A  et  B .  — N a u m .   t.  7 .   f.  1 7   et  1 8 .   mâle  et  
 femelle.  —   Appel- v i n k .  Scpp.  Vog.  v.  2.  t.  p.  i 3y.  —•  
 F r o s o n e   c o m m u n e .  Stor. degl.  ucc.  v.  3 .  p i .  325.  le mâle;   
 et pl.  326.  variété jaunâtre. 
 Habite  :  les  bois  de  haute  futaie,  dans  les  vergers  des  
 pays  montueux,  même  jusque  dans  les  villages;  seulement  
 de  passage  périodique  dans quelques  contrées  de  la  
 France ; de passage  accidentel  en Hollande. 
 Nourriture : semences du  platane,  du  hêtre,  du charme  
 , du pin, du sapin,  et les  amandes du cerisier. 
 Propagation  :  place  son nid  artistement construit,  sur  
 les  plus  hautes  branches  des  arbres  de  la  forêt  et des  vergers  
 :  pond  de  trois  jusqu’à  cinq oeufs,,  d’un  gris  cendré  
 nuancé de  verdâtre avec  des taches brunes et des raies d’un  
 noir  bleuâtre. 
 GROS-BEC  VERDIER. 
 F R ING I L L A   CHLORIS .  (M i h i .) 
 Toutes  les  parties  supérieures  et  inférieures  du  
 corps,  les scapulaires  et les  petites  couvertures  des  
 ailes  d’un  vert  jaunâtre ; moyennes  couvertures  et  
 pennes secondaires des ailes cendrées avec de grandes-  
 taches noires;  bprd  extérieur des ailes,  le  haut  des,  
 remiges  et  les  trois  quarts  de  la  partie  supérieure  
 des  pennes  latérales  de  la  queue  d’un  beau  jaune y  
 l’extrémité  de  ces  pennes  et  les  deux  du  milieu  
 noires ;  pieds  et  bec  couleur  de  chair ;  iris  brun  
 foncé ;  queue  un  peu  fourchue.  L on gueur,  à  peu  
 près 6 pouces. 
 L a  fem e lle ,  a  les1  parties  supérieures  d’un  cendré  
 légèrement  nuancé  de  verdâtre;  milieu  du  
 ventre  et  gorge  légèrement  nuancés  de  vert  jau nâtre  
 ;  flancs  cendrés;  abdomen  e t  couvertures  inférieures  
 de  la  q u eu e ,  d’un  blanc  nuancé  de  jaunâtre; 
   seulement  la  base  des  pennes  de  la  queue,  
 d’un  jaunâtre  c la ir ,  le  reste  noirâtre  et  bordé  de  
 cendré. 
 Varie  accidentellement,  d’un blanc  pur  ou  jaunâtre  
 ,  le  plus  souvent  tapiré  de plumes  jaunes  et  
 blanches. 
 h oxia  chloris.  Gmel.  Syst.  1.  p.  853.  sp.  27. — Lath.  
 Ind.  v.  1.  p.  382.  sp.  3 9 .— L e Verdier.  Buff.  Ois.  v.  4.  
 p.  17a.  t.  i 5.— Id, pl.  enl.  267.  f   2. le mâle. — Gérard.  
 Tab.  élèm.  v.  1.  p.  i 6 3 . —  Grunlinc.  Lath.  Syn.  v.  3 .  
 p.  134. — Id.  supp.  p.  i 52.  —-  Alb.  Ois.  v.  1.  t.  58.  
 Pénn. Brit. Zool. t. U. f  5. le mâle.— Grüner kernbeisser.  
 Bcchst.  N'aturg.  Deut.  v.  5.  p.  45- — Frisch.  t.  2. f   2. A  
 et B. — Naum.  t.  (\.  f.  8 et 9. — Verdone.  Stor. degl. ucc.  
 v.  3 . pl.  3 3 1.  f.  1.  le mâle;  et f.  2.  variété.—-De Groen-  
 ling.  Sepp,  Nederl.  Vog.  v.-  1.  t.  p.  73. 
 Habite:  à  la  lisière  des  bois,  dans  les  buissons,  les  
 parcs  et  les  jardins ;  moins  souvent  dans  les  forêts.  Commun  
 dans  presque  toutes les contrées  de l’Europe. 
 Nourriture : iinette,  chanvre, navette, salade et autres  
 graines ;  baies  du genévrier  et autres. 
 Propagation :  niche sur les arbres,  sur  les buissons  ou  
 dans les haies ; pond de quatre jusqu’à six oeufs,  d’ un blanc  
 argentin  avec  des  points isolés,  bruns  et  violets. 
 Remarque. M. Géfartiin, dans son Tableau elém.  v.  r.  
 p.  i 65, décrit  uue  seconde  espèce  de  Verdiet sous le nom  
 de  V erd ie r   de  h a ie s .  N’ayant jamais vu un  semblable  
 individu,  je  ne  puis  le  classer  comme  espèce  distincte  
 dans  la  liste nominale  des  oiseaux;  la  citatiou de  VEmbe-  
 riza  textrix  de  Gmel.,  n’apparlîeut point  à  cette  prétendue  
 espèce  ,  comme  M.  Gerardin  semble  le  croire.  Cet