Il y .a quarah te - quatre rangée^ d’écail-les sur le côté ;du. ,eo$ps,.
©t'dei grandes'écailles j'§ur I jSj epmé) et les tempes 5 . celles ^ ^ l ’appareil
opèrçulaire ^ontjs^mblables à ;cejL§s du tronc.,,. Une^de ,ces
.dernières montre ayec quinze (à.dixrhuit ravobs/à l’CTentaiT, et
avec, des stries concentriques pifcuilâires, qui. passent même sur le^
rayons d&jfeventail. Unep'eaiUe.'dè Ta tête n’a quecles >trîes concentriques,
et elles sônTass^iOToesVpbùr :être visïblef^adbiT nu.!'Un
sablé pigmpntair.e, tr|&fînrecouvre toutes J e s] écailles..Les pouleurs
du mâle sont vertes . -.assez. rembruniest;&ur .le dosi’jlpré'es.-snr les
Cpfë& &L pâles ^laf le ^yenïre^Jîe ^orps 'est, ..cop,yert ,,ê t principa-
lement vers l’arrière, de’points., blanchâtres irrégulie^>eqîa qj>eue
est trave^ée^ar dix Sidouze lignes veTticales pales. tou^aggen^éps.
Les, tr.ois^nageQiç^qmpairps , pprtep’t des. points. bleuât-r^&;-rilssont
.gB°s^sur|'i|r do^s,a(lejaLfins sur.la caudaj^ja ventrale .a.auyisi quelques
poiüls, Ueuâtrps; les pectorall^sorit;pales.
J[^T^POuve ceSi points des nageoires et Îm hâes^mica'Ies du
.i^rps^sur..tous -les nombreux-indixidjus réunis dans la collection,
et j’en, ai so,us Moyeux depuis la taîljb. ;d’un pquae jët/demi jusqu'à
ceÜefde tdtetrppjpQ||BeSsOn ^qec©nnaîffle; mâle. à" qn e. peptg papille
.ppnique, ?çachéetdans une prtile^O^utite^.çf'eu^&'éntre l’armsjïtjTe
premier rayon de la nageo^g^On, distingue, la femède parole long
panai, Qv.iducal £xé suy le premier, rayon de dâ Mgeoireet qui,
.dans une, femelle de. cinq p^uces^ la moitié pe la dongueur
deJcefi:a^qn.tJfttrouy(>(l-;nj| e.ûmme.]\(>isson seinl^»ble'r(,t-^1 cs^<>t.n 1 es
et la coided.r^du fond, mais il,n?y â pas dé. points qu;de lignes-sur
le pôr;ps(ni/ sjurj 1 esT^nage
Cette femelle n’a.qu|un set|Potaire,M!ntenant d^/(pufejtr^s-gçps,
dont quelquèT^uns., sont ^s^^^éveloppés pour, prouy^jÿ que^ee
poisson est j|yo^¥iyipare. A.u-<^essu|*dè7lui s^lrqqve la.y^sie^aé-
r^nne, et au-dessous les replis ded’mp^in. Ils sont moing nombreux
que dan»’|es espèces pT^édentesfecay le tube digestif ne, Tait
guènemae de larges,,ondulations. La portion.^astro-duodénale, est
largpet contenait des, débris de rtoissons.. Le toeestj peu, volumineux
et réduit au seul -lobe droit. Le péritoine, noir dans le haut,
devient rougéâtrë et argénte âüi dessous, et dans cette partie il est
couvert de points noirs de pigment.
j-’aiotroiussé * troisalongness^filaires' dans lar cavités abdo-
ml#alrp? K l’une d’elles/ ma-fait faire une
ôbservatioà Is^z/curieuse.fen» helniintologie. Cette filaire,
enroulée, :sur- ;elfÉ- mênj$l était ’ retenue dans les- feuillets
mésentériques du rectuü^risâ, iètei avait'perforé le péri-
toinày sl$taiit. avanp'é©feutBeldes. .museles^< sa,cr oGéècygiêns
i % » i ‘t p a c ifia peâu^|e*;$orte,quede v*er sortait
daporps du poisson^dans un\qdongue.ur de^huit; à dix mil-
limëtrpsk-Rour, le suivre < dans l’abdomen, il m’a fallu disséquer.
, entre ^ess'muscks«, 7ap^ès«;atyoioÈ^mievi les écailles.
J’âfi' ej©nse&vékÿ©p©ida-nta des brides j qui préviennent len-
tdz®pr;e;éëni' !plaeé§|aÔh ' de pladlr1 laj préparation dans le
Cabxâqt du iÉl^éumj* déj®-dfo^t riobe en?-Melminthe^i i(
M. S^ÉMydit- quOu pgut ep prendre des bandes nom-
b ^ u ÿ dans ^ '^ t s ÿ |M i a i n . ^ in,ais ’'que poison n^st
d’% u c p n I l - a . vu d e s ^ e a p a rd ^ ^ fP ^ ^ îH W îe^er
d e s s u i ^ E duvarer avee-.la mêiae a | | | | ÿ que le grain.
M.;*D'Æàyide'^rggardeÿbomme :ün bon appât pour iliâfpêdhe.
- iS eM ic ë f’ auteur des ^Indiens: l’appellent mummachog.
Sî rik'!OT;)e|feife6s1if'lè'furtdulus viridesàêàs de-.Mi Dekay
estsï^àiO', là femellelïérait designéeî.a©Os lewùom de Big-
Ulüfish sklv^ulÿe- dernierB^totét^simplement sous le
nom d e \Kiilftsh isëlqtf 'S’choepf.
’ Mfbli^sueur a o b s e r v é hjdrargjrra ôrnata, et par
cous ë qu ént "êsp è ce dànç.felac PontcËartrâih d e là
NouvellèfOrléans. Ou lui donne en ce^ueu pour dénomination
vulgaiie lé iiom pë’ cacao. Je trouve dans les
no tes qu’il'1 a^bien voulu£ nous, eti'vôÿer âv'êîf; les poissons
ea. nature, q uùn: dei^è^ amis, M.‘ Victor Guillô'n\ l,ën
prenait facilement un -grandtnombré d’individus ,à chaque
coup d’épervier,: parce que* ce poisson vit eu troupes. Il a