genre Sjrnodus de l’ïehthy ologiste de Berlin.Cette âsso~
dation ne faisait qu’ajouter à la mauv&isè eOÉECëption du
genre Synode.- ai «flü É .cÆ; « iÉ ü f ilÉc
L a î©ALAXIB
(Galaxias maçulatus,, nob.; Mesite^rmdçii^atps, „JennymV, .
■MOus* âvèiîs'%ü$si ’ ’’
Elle rëssëfiible au G. attenuatus ' pW surf Wi^mble.
Elle a là dorsale coupée carrément, plusliaute que longue j banale,
plus éteiîdue, est plus basse; la caudale ést‘fourchue. * f
D. 10; Â. 1 4 ; ^ c ' ,
• Le corps est eouyert de grossU taches brunes , sur un fond
jaunâtre. Vues a la.loupe j ôn: observé que jcesr taches soâtforniéès
de la réunion de petits points pigmentaires. ‘ ‘
M. Lêsson nous apprend que, ce petit, poisson a été
trouvé squs les galets et dans le§ touffes de fupus aes eptes
des ;Malouinesé
L’individu, long de trois pouce^ot unpiers,, a .éfié rapporté,
par les .compagnons de M. le capltaijie Duperrey.
M. Jennyns:a décrit1- cette espèce.sur un individu pris
par M. Darwin dans une mare d’eau douce de,la péninsule
de Hardy, }à la Terre-dè-Feu; mais-ce^yopasgeufta
trouvé eé| poissons plus communs dans, les eaux douces?
de la rivière d® f Santa - Cruz de Patagoqie. Il | ? yp ;,le
nombre des rayons de la dorsale varier 4e dpjj:s&fà dix.
Lés .exemplaires, dès ..naturalistest anglais, .sont un peu plus
petits que celui de MM. Lesson et Garnot. Ceux-ci djsent
1. Jeimjns, Zooh of the voyage ofthe Bengale f i s h . p. 119 , pl. XXII, fig-.-4.
aman 11. galaxi®®? 2 6 5
positivement avoir tr o u a s le. leur parmi les touffes de
fucus . - ; ,qui doit ^re?|GE©ir-e qi^-yse#; petits poissons
peuvent' »vivre . dans des eaux saumâtres, si e e- n’est tout-
à-faitiéa®silft mer. La- figure de M. Jennyns) ne. laisse rien
à désire^ ,^tan 11 elle^ est, p a rfai-te, |
- La G alaxie a l p iNj&-
■ alpinüs^Memtès alpinus, ■ Jenny ns.;’ifpll
Les memes.naturalistes On t encore.fait connaître une
^u^æt^pçôe de la Terrë-de-ïFeu.«.
M/jëroeyijs la décrit,comme trèà-séifiblable à la préce-.
aMite,, .mais^é
avec les. y(qux plus grands., lot ies dents.^antérieures de la langue
plus fortè&
La ‘couleur, dans Falccuol, parait être'un brun verdâtrej deve-
naîit plus'foncé'sur le aost d’oui Té corps"'^r s^ns, taches-, 'avec
Un rtrisl%ü! Sablé noirâtré, sèulëment'wisîble âVeç ■le®séeoürs de
la loupé.? Le ventre pàràit 'avbir *ëté ;blanc. «
Sr D .- 'l^ A . l t j f i . jÉ É É l 7. '
' 0gpgç.g ^ prise dans’les eaiix .doîiq.fs des1 hauteurs
deJïa'Terre-de-Feu à la péninsule Hardyqest bien certainement
distincte de la précedentFfimais elle paraît *tres-
voisïrié de l’espree*? originaire de la Nouvéîle - Zélande.
M. Jenriÿns en a ' vu dejix-’’ exemplaires longé de deux
poùcejh cinq lignés;. .
1. Loc. cii., p. 1 2 1 .
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