totale; Jletedos jpt rondfelj épais; sotodi&mêtre, fait plus.destdeuxiôers
de la teneur. La1 tête mesure uti peii'plus-du;,q!aaxt1de,lai longueur
totale-; le^ dessus est. aplati; l’espace entre ..les, yeux/est «égal à deu^
foisvlè diamètre,de l’orbite; lequel est çontenu, près de six fois.dans
la lo-nguêur^ d^, la^ têtg~ l’oeiL est ^dï ïÆ petit : la mâc^qirç^supérieure
estj'cour.te, qumqqe/fojmanjt? lebëu£ du museau ; l’inférieure,
.plus avancée, seyedr|^|fy erb le ^aUt quand la boucfee est fermée ;
les lèvi’és,. sont peu épaisses et les dents*ên çarde fine. La.idorsale
est reculée sur^a Ægcqpdp moitié 'dtt. cprps et, jgpmme^jdans cgs
petits, poissons^isônjni^mieR rayon répond au milieu d^l’intervalle
entre le bQ^g.p£>stéi^Léur»1ide l^orbi^g^et d extrémité, de la caudale.!
L anale,.e&t ,au-.des,|ùH-s,|le ees#e nageoire, oui est.arrondie.,tandis
que k dorsale et la caudale sont csupeescar-réinent. La ventrale ests»
'petite ey jljj^pectorale’ ovtâfcïrë.'T*
^TT6f>D. 13 on^juij.A. 11; Ç.J,9,| P.47; V. 6. ,
On voit que, daMifeiterEspèCÉL^de« nombres de la dorsale peuvènt
^varier as^z»notablément'-(%in individu-ap.un autre.
Il-y æSfffente-ciïi.q' rag^ge'es, d’:éciiii%|rentre l’ouïe, ej la/dOrs^le;
.une^écaillA^ug^olémeHt^ 'montm. ,qu’elle est, irr^gnlièrgjnent pentagonale
^ ’e^à-dire, que J e bord radical est un arc (COjapaye exté-
• rieurement, pu .dont* la dbnvexÿë régaraej^^ centre de l’écaille;
nue les1 deux ço^'supéâedr. OL infméur rspùt aroïtV, et quë les
aeux bords libres sôirt reïJtffignéset vénV ébhveïggr^ad’&ngle pos-
téfteur de l’écaille- Il y a ipeu de '^âyon^'à* l’éverirail ,* cinq l'à^six;;
lie reste de-k&acfaeemfo que des stries etônçentriqùesv'LaçQuleur
est verte,'plus pii moins-foncée sur le^dos ?,jaune s,ous le ventre et
àjgentéerledbriydes^flancs; le-centre, deis i|c§ijles paraît un peu plus,
clair. Trqis .ligpés longitudinales» plus ou moins interrimpues^et
plus ou'moins onduleuses. ornent ‘les flancs, eLtrdis lignes venPf
cales coupent la queqÿ pres de _ï'a caudale.'
- vÇ-oS’plus longs exemplaires ont cinq pouces .et quart. vIls
o n t été^envoyés^au Cabinpt;du üowpa^M. Milbert et, par
M. J E. Dekay, de-l’État New-York; M. Lec-onte„eh
a offert de piuSKpetits.vSyL@epf1 a 4op.n„é une description
fg>rfirecorinalssalale de notre leip'èce• sous le nom d e ^ l& z y -
Jisch, mais, en ïfelai$sp.nt so u ^ ce ln i '^ë/jgobitis heteroclita>
e t 'ën ^o-mmèttàntja fente, d ^W ? ^m p £ ë r que cinq rayons
à la mém&raqp branGhi|s^|g|;; faute cRfealéténaturellement
ïin p ié e ^ îre p ro d u ite j&,r,çqiix q uio^Utravaillé sur,ce§ matériaux.;
LiitWalbftum.' r da,ns«s©n éditioü. d’Ar tedd% pï olb^fLu. travail»
du voyageur alleutand', ef ,établit dan s^ a note ? le cobitis
ffînhjalis, que Biloch introduisit ;ffens sffmSyste-me, posthume
Comme PjBdeiUa majalis. .
îiisffli BonnaTésre’ni La cep è de ne firent atten tion au .travail
d ^ ifebeefefofej dcWal-baum, (Joiiorte'que l’esp|ce? ne parut
palllrans les; ouvrages.id’ieht%olO'gie|fran#isér
,>Lo.rsque dfeVfeît *mo,n premier^travàil .sur» les poissons
dpïjeu*group es, > je prouvai- tque^AIitchill venait de nous
donner; stops- le nom d’esba? ovinusaunetespe qe-;§[ui devait
âtJ5% trèswoisiue,é.s§i elle n ^ t^ t la mêmey que cjllefdu cy-
priuodôn • vafriéfid^^l^vbéjlèdë.;i D .un ^utre cote M. Cuvier,
qüj n’avait pis .reconnu ^es es^e.C^ des deux auteurs éitdfe’
ici, d-© npait q u a tre -rayionSi aux, ouïes d es .cyprin odo is$,
tandis.que^Llfccpède. n’en indiquait que trois; je* crus dpnc
qu’il y,iayaiti,dn.no.mbtcnses1 e r r e < ^„^a8n 9É!£s i en
cela, i’ai èuïraisQn, maisy’ai eu le torjt, de ;n c ^ as le^ corriger
xbnypnablement. Le Cabinet du RoijsvenaWid® .recevoir
mj ëxerifplaire, d*e Xesooc flavulus d^Mitchill, qui a.cert^i-
* Jmnent six rayons à la membrane branchios|ègÇ, quoique
4 ’aUteur américain n’indique qiïe jsinq^ayôns. J e laii. réunie
1. Schrifien dér Gesellsch. naturf^Fr., t. VIII, p-
^ Aiîfe*.-Walb., p r i a , n.0"8.