lac É tü et les autres grands^ étangs du sud du Canada?-Il
ifé l’a pas rencontrée dans les rivières- qui versent-vJeurs
eaux dans la baie d’Hudson ou d’ans la mér Polaire.
Un observateur canadien^;|M! T^dd, lui a dit^cpie,
pendant la saison du fra p l’Éstor reniante dans les ,rivières
’affluantes du l ^ Simloie^oè. il se* nourrit die p«ss®aa#ï et
de petites boules vertes et 'gélatineuses * qui te * forment
et sê" dëvelopp en t ;-sduis F é â ü *
Ce bToebét é te in t au poids '■<fe: vingt-huit Ttfres Vyon
le préféré, j pour la ta b le /a le s p ^ e ordinaire*{commun
pike). Je ne sais pas. si % p^rtette~èxpr^ssion, M. Richardson
entend le brochet d’Éurope, ou s’il veut parler du co/nmun
pike des Américains r^ee serait-alors à Yêso&f^eticulatus
qu’il aurait comparé cet esox ester. Je -crois, cependant
qu’on a pensé à Ygspx lueim*
Mrde docteur iJefeay* 1 cite aussi cerner espèce, dans* sa
Faune de New-Yorh il i n d i q u e , ^ synonymie?, une
dëlërïptfBh d u docteur Mîtchîïï, de bRaÿ' nom
d’esox masquinougy. Outré les laGsJÉrië ou Huron,
M. Dekay' sait qu*on trouve aussi -be biroehieti a Moate-
zuma, dans la contrée de- ;Gayuga?j? et il dit, <kap®ei
M. Kirtland, que les individus des eaux oceidentafesSsènt
préférables^ à cause ?de l’exceUente qualité de leur chair.
L e Brochet rétigç»l&;'
■•{Esoæ reticulatüs, Lesueur. %)rp
Une seconde espèce ressemble encore plus à l’ëspèce
europeenhe que ’la précédente“
1. Dekay, Faim'. New-York, t. III, p. 222.
1. Jifum. sèiüf phMÏ, 1.1, ,i8i8> j
GflAP. I. RR0CBEÏ.S«
parce qu’elle * Je a É g Ê Ê Ê Ê ^ ^ i, dc.méiae. grosseur; cependant
la bandeyo.^rienne est pJp.gtgpÿe: elle/en.distingqe^ncDre par
un caraSè^ f e e u r facile à saisir Q | B important ^Cestque
WÊSÊÊËÊ lesouslopexQ^qipnt entièrement recouverts d’écaüks;
^ celles W c6% s^ so § t ^ 'plme Nombre cfire sür notre brochet. J en
'H' fc6%^t^eent vingt i%igées.
D. 13 | Aù
- Lé ^ ventre b W ja im â t r e , et
la! co*uleurJ rembrunie ' du ‘dés ^descend en mue àèrte de-réseau ou
dé m a i f e s ^ d e s l a r g e traîtaiohWa du Æord; inférieur
de TorMte sur la iGîUe.vven,pas.sam, près d:e floculation fde la
-'-mâchoire inférieure. ,
• Le plus^grand de ®os' individus esfeiong detdeux pieds.
M/Lesuejjr ltgs*a envoyés» du msichë. de«Philadelphieÿ, où
ils p a r a ie n t depuisaMarsq uàqu’en O cçobre..'
Il aéafït ?étéîpêché dans ja .rivière de^Gonnei&ieut:- on
y^ en p e n d du .poids.dnseptnlivres. ïM. Lesueur a cru
que rie' docteur Mitchilluvajj parlé-de cette espècet^ous
le no’i t l f e ^ ^ lucius; mais celui-ci se-rappoTtei à un autre
bvoçkÆ, dont nous traiterons tout à 1’bçur.e.:
f e en avons-reçu- un- autre exemplaire, envoyé jgg
Gh^testQU^(.Garolinudu and), p a ^ J e .d b e te u r Raveneil.
^ v a n t M. & è r V pdiàscà, un des plus beaux de
l’État de Massachusets d g É connu sofus le nom d e pikerell.
Il peuple leS^étangs -et les rivières* -etiest très^stimé; pour
la-tablè.- M ^
M. Dekay2 le compte auSsi parmi les espècÙ^ de la
Faune deNew-York. Il lui donne uttèdoiigueUr sde: trois
pieds. On le-pâphe pendanUtoute l’année; mais-il eét-plus
• 1. Reports offish. ofMasbaehuseis*.p. 97'., r - 'ôit.
- 2. Dekay, Faun. Nevo-York, t. III, p. 223 | pL