5 5 0 LIVRE XIX. ÉSOCES»
reese, parce que l’on peut joindre au ca*rao6èïe$ du bec
la particulàritéqüecèpoisson avait les àrâteâ> vertes.
Enfin, je trouvo encore dans ce même auteurysous le
npm de Geep-Serooy*, une autre figure, dont je ne parle
ici que parce que Bloch a eu la singulière idçei défia
placer en synonymie de ŸJEsojc osseus, que l’on,; sait; être
un poisson des fleuves^ d e l’Amérique septentrionale* La
figure de-Renard es& eopiéâîét altérée de ^Original qui
existe dans le recueil des. peintures laites aux Moluques
pour l’amiral* Corneille de Ylamming ; ille n’é&t pas lanssi
exacte que Beaucoup d ’anêies^de^j^. ^ e c u ^ i; et auSsi; je
n’ose la déterminer ;spécifiquement, mais il -est hors de
doute quelle, ne représente.une orphie.
Z /O rphle de d’U rville.
( Bejone U rvillit, nob.,)
Cette espècerâ
iè ^ rp s trapU; la tête «t furtoat le bec fort alongé, par rapport*
ÎÛ^âccourcissement du corps; car la longueur de cet organe n’estj
que deux fois deux tifcrs dans celle du corps enti^r^iL&a quelques
stries sur .le crâne, le .long du bord de la cannelure :}lg§ dents sont
frêles et tres-pointu'es; les âprètés et là mâchoire Supérieure sont
même assez" aigues^ le sous-orbitaire eSt peu festonné : il esr couvert,
côrinîie la surfacé eûnere de là joue et de l’opercule, d’écailles:;
caractère que je n’ài pas encore rencontré dans les au-tf-es espèces.
Les écailles qui couvrent le corps sont fortes et serrées. La: pèc-
toraie es£ longue et pointue : elle est comprise cinq fois entre le
bord de l’opercule et l’extrémité, de la caudale : celle-ci esLa|rondie;
la dorsale et l’anale sont courtes et élevées ; la hauteur des plus
longs rayons de la dernière égale la longueur de la base de la
nagëôïfé.
1 . Renard, Poiss. des Moh, i . re part., fol. iVHI-, n.° 56.
CHAP. • VII.^ aRPElËS»
p, 13.; A. 15.
| Ce jpoisson me paraît? avoir été yert' foncé sur le do&el avoir
eu une large bande argentée longitudinale au-‘dessous de eéttè
teinte ; une large bande bleu noirâtre reste encore sur la basé?* de
3p | | dorsale et de l’anale; les autres nageoires paraissent incolores.
‘^ sÇe poisson pic j long de quinz|^|£|seize po.uc^. Il vient I
H|s îles de^Vanîkqro par jest;soihs des.naturalistes de l’ex-
péditiok de \ Astrolabet spuging, ordjes^tj^^contre-amiral
D apprît d ’Ujymp«
.On ^qn k o i^q u e p-oü& avpps dû dédier u^e si balle
e^pèrt^ tfi jy pt.répide et inj^ortfflL,é. navigateur, dont la mort
ra p p e p p ^ toujours de. si doulouye.uXvi§i||v^ni^|..:,;
i ’ jLvD^PHlÉ AN A ST OMEL LE.
( B.elüne anastomèfta, j-nôb?^ ï.
Yoièi un e^ eo n d ç-asp g fe^ q u i avoisine la précédente
pâr la di-apositibn des,»^tilles dej,-sat^t|Le,, mais qut^par
la forme deisompsorps et par la petite ouverture de là-base
de;^pn bec, rappelle tout-à -fait l’espèce américaine que
nousi avpns désignée sous le noip j^$,Belone hians.
Cette orphie ‘ a la tête el le museau $for^ àlonjglè'Sét contenus
au moins trois fois -et' demie d^ns da longueur d’un corps qui
èst lui-mêmB grêle et comprimé; car la hauteupm1 le dixième
i Ude celle du tronc $ iMpaissenr du dos fait un peu moins1 de moitié
de la hauteur, Bè le ventre est presque tranchant ; le 'dessus de
la tête-.éfct étroit; la région sourcilière des frontaux est striée;
1 l’intervalle de'labannelüre est lisse et un peu écEallehX ; le s#us-
orbitaire s’avancé*(en pointe au-devant-de la narine; comme il est
très-étroit en arrière, il ne reebuvre pas-lé tahin du maxil-kirè.
L’oeil est de grandeur mëdiôCre; toqte la jôue, au-delà de l’oeil
jusqu’au bord membraneux! de Vopetfeule, est;«’ouvert de petites