logistes, qui auraient déjà reçu trois noms. I ls ’sont voisins
des loches par leur bouche- sans d en ts, garnis de
petits barbillons; mais ils en diffèrent par leur tête
aplatie, parrlaj) grandeur d è je u r pectoralejét d e leur ventrale,
dont les os huméraux ou pelviens forment de larges
plaques osseuses, qui donnent attache à la nageoire, de
manière à ce quelle s’étale horizontalement, comme celle
des callionymes,. Le corps est couvert d’écailles visibles
en dessus;;mais la région pectorale et ventrale^est nue.
Ils ont un canal intestinal simple, court ;, l’estomac.est
grand, rond, et distinct du reste du canal alimentaire. Us
n’ont pas de vessie natatoire*
IJous ne connaissons qu’un petit nombre d’espèces de
ce genre, toutes indiennes.
Le, B AUTO RE A MUSEAU ROUGE. .
{B à lîtom erjthw rk in a , nôfe:) 1
*MM. Kuhl et Y an Hasselt avaient envoyé cette espèce
au Musée, royal de Leydè, sous le nom de T lom alo pterif.
erythrorhina.
. La forme du corps ressemble beaucoup à celle de nos aprons
du Rhône. L’endroit le. plus épais du tronc répond à .la. base dé
la dorsale, ou la hauteur, égaie à l’épaisseur, est comprise/six fojs
dans la longueur totale. Le musçau est pointq., coupé en ogive.
La ligne du profil monte insensiblement jusqu’à la dorsale- elle
est un peu soutenue au-dessus <le l’orbite, un peu plus en arrière
de la puque, de sorte que cette ligne est légèrement ondulée. Èllè
• descend rapidement à partir-de là'nageoire, ce qui fart qàe'la
hauteur de la queue n’est plus que des deux cinquiçifies dé celle
du tronc. Le dessous de la tête et de la poitrine est plat. La ligne
du profil inférieur est. légèrement et régulièrement coücayè; La