Le ^os est „chargé de taches irrégffièresmpires et serrées. La base
de "là caudale «é^noire; la nsfgeoïfce, ainsï^ué celle du.dbs,,, sqnt
ponctuées/,
- Çè poisson, long décroîs poiMeà,; vient dès environs^ de
Datnas:
jL«SjL.ÜGHE if^,ÈS-Bïâ|L^i: ƒ
X Cohitis insjgniSj Heckel.1)
Le êofps est très-grêle, cylindrique en. avant3 ét; comprimer ;en
arrière. La tête, pèëté^pointue, . est contenue siÿ fgis..,ê| demie
dans la longueur totale.
D. {¥, A. f-?€j i’fj-P. l ï ; f/T .a
Le corps est marbre, de tapbes noires; la caudale êèLançrée de
noir à la base et traversée par deiix bandelettes. On en 'ivoit aussi
I sur la dorsale. Les-aUtiWlï||eoi^^^^ taches ni rayures.
La longueur vàrie^djp^ trois pou^s^à trois‘•■■ppütîes^ et
demi j 'le poisson vient de Damas.
h a Loche îig ’r^ . 4 - ?
{Çobitis tigris, Heckel.^ -
La forme du corps ressemble à celle du cohitis froenata%
mais la tête--est moins pointue. La dorsale estplüs. large', .jurtout
à la base. D n P. 10; V. 7.
Sur les exemplaires encore, bien censeryés tirés de l’alcool^le
‘ fond de la couleur esà;d’un blanc jaUnâtre : quatorze ôu seize anneaux
verûbaux bruns entourent le ebrps; La Caudale a ia b^e-nôïre, et
le resté1 de sa surface ponctué ou rayé; il y a aussi quelques p'oinfs
sur la dorsale.
1. t'ische Syriens, fîg: ffl
Le musée-s4 e Vienne ai reçu Cette Jbche du fleuve
Küeîk près Alep ^Cpéonia nomme JgebWdiy c’est-à-dire,,
le MOTg.tr^,fie gui fait présumer a M. Heckel que pendant
sa vie la ■couleur db la peau tirait. sûr ' le bleu.
^ .w f S é ' naturèlïsÆ indique ,en n o te 'u n e cinquième
çÆ c e dç lfc^ets, dp Damas, qu’il nomme,fiabitis leopardus;
mais i\ ne la ^ f i f i î Hn§Qr;e.,^e,ç„;asse% de détails-pour
en parler ici: ;
iLe
Cette loche, est^ldemmentintermedigtre entre la loche*
franche, décrite au commencement deïîfccîchapitreys.et la
suivante ,ie cohitis tamia; que les icbthyologistes modernes
ont feu devoir sépârèr, comme genre*,'' dëà pré-
^ëdlhtèsi D’aiitre'sï"plus Inhfédsjÿbmme Làbépéde/'ien
réuriîssan| lé cobitis barbatulalét "le fiàbitis teenia^dans un
même genre, les ayaïehf élpignéç^bfites deux du cqbitis
fossilis. Rtpn ne prouye p lu a f im ^ laquelle on
ne peut plus sortir,vquand on veut donner de l’importance
è des détails, et faire ainsi un trop g ^ n d nombre de coupes.
?i;*tGe que tous les naturalistes ont négligéi-de. remarque^,
faute dVyoir suffisamment étudiéde squelette; c’est de re-
cdnhaître et de signaler ïa drès-petitê fente' en forme de
pore allongé e t étrôit^&i l’on p e u t^ ’exprimer ’ainsi'j qui
mâTque, sôùs l’oeil la Jplacè" Correspondante à l’extrémité
aigqp du ^pST-orbita.iyp jj premiçr^.pudimens des caractères
singuliers de la plupart des loches. Le reste des détails, tels
que la conformation desdèvresjet l’insertion 4es barbillons,
là distribution dès »couleurs, montre combien sont réelles