breuses que .eelles-Adu genre.Cyprinodon. Elles «viennent
toutes de l’Amérique:, et j’en a& trouvé desàdéuxdôtés
de l’équateur : elles remontent.vers le nord jusque dâns
l État de Massachusets»
* 1 ruhâalùs %qSmMlusï üëb.) 4
Les eaux, .saumâtues4 es États-Unis nourrissent en très-
grande abondance ce çurieüx petit, poissGn.yBfoys. enjavons
reçu 4es ^exemplaires» nombreux "et efe toute taille par les
soins4 e MM. Lesueur. Milbert, .Harlan et de Castelnau.
Le ,premier de ces naturalistes lelLa eju.dié,âfîa-vecr atten-
tioUi.étie»n. â publié] un® bonne: cfeesqiptioeitt maisisscniaun
nom générique ou spécifique qui ne peut étEe?conservé,
ainsi que r je yais le, .démontrer.; :
Linné, reconfiafidevoir la «fennaissance de notre poisson
à Gardent qui lui aurait.indiqué pour dénomination vulgaire
le nom de Mudfish. Cependant ,je .me- trouv^ dans
la correspondance -entre Gardem et Linné, publiée par
Smitfi, eu que nous avons déjalMtéèipbisifura foi®, que
l’amia calva ainsi nommée.
: Quoi qu il en soit y Linné, eutcla malbenïæuseddée! de
placer eeîipudfish:damâaiXII;f é^itièn, à là guides co&zY^,
bien qu’il aurait du?„être éloigné tie ce rapprochement par
la grandeür des écailles , par Mg dunts^de da bbuclae , par le
nombre des mÿonS ibranebiQ^tègèsy indiqués avec exac-*
mude dans; la descriptiqnde Linné.,11 d it biènlà ik ;fin<de
sa courte notice Gerius nondum -, centum, .mais pour se tirer
en quelque sorte des difficultés qu’il éprouvait, Linné
appelle l’espèce cobitis heteroclita.
Sehoepfpayant pufeMéwlanS lés écrits ' des naturalistes
de Berlin une «sérÉèM’obselvatibnsisur les ^oissoùs de l’Amérique;
sëptentri©nulenolentifomfiai'nptrë*fünd'ule et la te-
eonnut pour le kûbitist'hetèroclita de Linné;*1' "
- .11 ; dit;Mue»' cedsoawti' les- 'Mndjtsk dëda Gqroline, décrits
par-Garden, et qu’il fënt Considérer comme .voisins d’eux,
si ce nWt p e u t-ê tre du même gélire, le Jellow-belied
eabîér, \e Killfisli -.et- le
deé* sobsérvations ^felSchoe|lf, !ll« duiptefintr stj#"cobitis
mdcrolepidotusÿ<e$hCQmj)X\l .dans 'cettè eSpècële Killfish
comme une'isimple^vaié^é^tet*'‘le troisième devint3 le
cobitis majalis. Sehéepf ,' travaillant idupr&s1 nature ‘et
observant fiavedi*séim , avait bien saisi' les |rapports ^dê's
poissons. Walbaümÿ tirant parti de? cës' travaux’ avec iütél-
gence?pavait' ffiis^stir fa voie'de Ipie1?® établir les 'ëspèces|
il ne lui'avait manqüéiqu’un pfeu plus de1 préèM’on’dâns les
caradtènel, lorsque*sest,s‘ucc'és5etirs, soit paÉ défaut de critiqué
y soit1 ?par baffisenCn de
la> confusion dans rMstmrecde'ces''petits ppi§Süns.r;
Ainii^BIotcb j qui oè connut aucune tfeClSes* fuudules à
l’époque dè-4a publication de sà‘ gfaîndë prit
d’une^part danSt îLinné^ e t'd e baütre daîàS‘‘Schoepf, p a ir
a j ôuter ; dans5 son 6ys terne "posthume^ - à • la liste’dëkéspèbes
de«s©n' genre Poeècïija, l&eobitis heteroclita dë'Uinné:
Il devint« le poecilià ëcenicoléf et', du Yèlloÿv-belied cobler,
que SeiiGepf né distiü^likit" pfes a^êo^rliiébn de l’esplelflin-
néenne;,:Bloch £enb a fait une secondé’ es'pèêë'nominaley
le* poecilia faqciétd. v
1. Schriften jder Ge,sejllsch. naturf Fr., 1788, t. S., p. B éI
2. TEdît.^’artedï ,'179^‘,'p. 1 1 , h.° 7.
3. Ejusd., ibid., p. 12 , n.° 8‘. " ■*