bande plus dd' moins étroite aux deux - mâchoires ; ■que
celles'du bdrd intem^sdntJéclrtééilfconiques, plus l’ônffees
que les autres*'; termin'ëês en poinde-ÿéréd^e^ qnètlesreste
dS fô bandelette n’èst plus -ëiiÔpS^%ue d apret^éterïdues
lë plus souvent sur la *fécé^externe' de la branche de da
mâchoire inférieure. Cesapretés*sont toujours visible^
p'arcè* qu’i l n’f I g M de lèvres"; I un setil Appendice mou
*et châïh^Vqm't.erminë l’extlëmi«é dé-iWBytophyse^gt
le représentant dé^ce^orgatfes. Lus deffî^oniqTÎ'es^de“ a
mâchoire sûpériéuré® së^câchent eiftre le^: branches’^ de ,
l’inférieure quand la ^ o ifch ^ e sF fermée “ tfêllelrdten bas
se^placent de'rctfgque côfê du i3 e c '> e t^ ste n t^ « ib le s.
D’après 1 l’observation qüé "*j;ai faite sur- lesp&éëQie hos
cotes, dont le vomer ëfejt*hërîss$ de p’etiftês d e n ts, Pon ne
p eu t plus' dire avec M.‘Cuvier, dans la diagnose générale
d ë ^ e igènre, que leur bouche n appoint d’autres¥dentsJ Je
dois cependant-faire tout-'de suite remarquer que toutes
les autres espèces vont le palais lisse- :-les<dents< pharyngiennes"
sôdt ‘disffôséfe fsu ifd eh x ÿM m p la q u e - s u r le
h au t de l’oesophage ; elles sont pointues et plus aiguës que
%èllés d u phtrytigien inférieur; toutes sont plutôt io n iq u e s
quelles iië’"âbnt dé véritable^, dents en payer Quoique le
bec so it formé |Vpâr 'S'éul'prolongertienf des intermaxillaires
; d é fa u t observer q u ^ le s maxillaires qui*se-soudent
avec eux ," concourent aussi à former la base supérieure
cfe ce b e c , sous -les.;os d u nez, et sur M c ô té s auprès; de
la c om m is s u r e le s p é é e de talon d e ces? depx os est re-
teirvert" généralejnent, “en ^totalité ou en p artie, par le
ÿ u s -ÿ rb iS ü re , q u i^ ë prolonge "toujours d ’une- m a c è re
n ô tàb lë^ u rd ev an t de l’oeil : le prédpercnle et i opercule
fum e n t dans & poissons deux *tfès-larges plaquéf, celle
CUARfc VII, QRPHI#S> m
^teïpftiypopflëote:«ftt#;andie parfespus-qpercule soudé
aVëfc luijirimàpopeÆcqle,. est petit e t ,caché sous le reste
de rappareil nperculaire.
Les ouïes* sont largemep^ fendues ; la membrane bran-
chiGStège^est soutenu«? par d|»uzp rayons. L’isthme 4 g la
gorge^t-toujours très-étrojit^|étidans quelques espèces.,,à
corps trèseco.mprimé, il est, complète ment c^çjjé entre, Jes
branches de la jpâchoire inférieure.) qui^se, touchent. ,
LLes^ogidu cr4pe.-se4rëunissént enrde„ssus; en un risq u e
d u rr ,creusé danS le milieu 4’une cannelure, et diverse-
menj^.sculptë, ou,sillonné sur, les^ô%és;v les mastoïdiens,
qui l e portent fortf ep arrière |&|g| occipitaux, rendent
cette'Sorte jde^casque .qs^eux plus oummns profond émeiÿ
échaacré^ et dans^çpttp 4çhancrurp.p^ètresnt-les mus pies
dé j à nuque^gt du dpsa qui viennent |^ .é r é r sur la rggiop
ocGipitalp. * Les-^yariadons que^qe^(^jjednous soit,
dans les p roportion de sa largeur par-rappor.t^qa longueur.,
soit dans la cannqlurq, ^dans^j^stries ©u^d^ns les
ciselures* fournissent en^énqgd de , tr ^ b q n s ^ c ^ 'a ç ^ e s
spécifiques.
Le corps des orphies . est:, alqngé^ pquvert de petites
écai.l]^ plus ouîmoinstiCaduqUes;T;suiyant les espèces,;'des
nageoires d rysale et ,anale, .qppfo%ees 1 une a l’aujtjpç^ sont
reje;t4p§ -sur l’arfifrp du<cp|^ copime dans le brochet.^,
La caudale, est ordinairement fourchue et elle a cela de
remarquable q u o d q n s |l| plus grandj^onabï;« ^ s espèces
le lobe inférieur est plus long* quelle sup^jguïf;,,
Lies viscères ressemblent aussi a ceux des Ésog^l-i
consistent .en un canal - intestinal saus^aucum' appendice
coecal. La vessie matatoire&est,grande.- et, ne m’a „pas- pffert
de ^communication -avec roesophage. |§