■ <..&wr quinze individus dp différente taille, | et- gui, nous s.ont venus
, • dé divers points de, la.,Mé$itçrfaû,ée.. J,e tfouye?aussi que, les dents
. des. m|iclloires sont un peu plus fortes; mais j!ayo'ue;qgé, s’il
n’existait pas la grande, différence giie-je viens de signaler sur'le
• palais, ]é'iîe mènerais pas arrêté à’ ce Caractère pour distinguer les
deux espèces. Du reste , l ’ensemble des. formes et cjes- proportions
de la tête, du*bèc, du ttonc; dès nageoires,, et'le-noi&bre’des rayons
de ceS dernièrës, 1 sQnt' toti'-à-fait semblables êfHoiit ce' què nous
observons- dans notre espèce de-¥Océan.»?>,
Je me suis fissuré qüt/ les* viscères- de cette Espèce- ressemblent
-»«• tout-à-faif à ceux |de la précédente, et que la- vèssie aérienne n’a
aucune communication avp£ le canal intestinal.' -
, Nps individus atteignent ju^qub iTingt-six^guyes de
longueur,;, ils. proviennent de^eôLleCtitos faites aux Martigues
e t à Marseille par- M. Deialande, par
M’^avigny, ën^SiqLLe par, M. Bibrôn, et en Morëe par^lçs
naturalistes de la popamission sçientifiqjie de ept te^ expédition*.
Nous ge devons pas- cependant ibmettr,e de signaler aux
naturalistes que.,nous^ a$Jjns Toulon^par les^ s,gips
de^M.>je duc, de Rivoli, un. ihdiVidü ■ qui a; ià*.,mêrpe
denture au maxillaire que les, précédentes e t dont’ 1-1
vonter pprte deux pu trois petites dentS^ mais pas un
plus,.grand nombre* cé qui-est fort différent de plaque
ôvoiae qui termine lé chevron denté de 1 WpTiiexte l’Qçéan.
Je n’hésite donc pas^à tegurdet pet individq ^f ommç u û |
simple variété d e , 1 espace que nous d|j$iy.pn^
Il me .paraît qu’il faut rapportejr a c|tte~Jspj^e les citay
tions dqj SalViani1,- d’Aldrovande^ ^de Qpsnpr3,, dont sa
1. Salv., 2* Àldr., dè~p&E% p.' 1 0 6 . *
3 . G«sn., de- aquat., p. j 2~
figure Lui. avait été envoyée de' Venise* Nous arrivons tout
dë stÉit^'aprè# ceS* âutetirs anciens a . BrunnJch et a
M. Risstff* qui dans xà première'! édition, nomme encore
e'e^pbisson .EèQoo Belorië, mais qui dans,*la seconde appelle
l’espèce du nom deBelone àcus/quoiqu’il crut, alors, ainsi
que lé prûuV^lsa«ynonyniie, que. pétait le même poisson
désigné d’après* M. Guvier*.sous! le nom de Belone vulgnris.
■ .No'tts1 h d^onS’^ n ssi nôtrt? poisSon fort exactement ,et
très^Mgàmmerit.ïi^iir'é'par M. le prinpd:(3h,5rles, de.Canino
dans la Faune italiennë,.Cë tayaut zoologiste ero.it toujours
.à la communauté» fespèee. dans^ les deux mers européennes’}
-nous n’avons' donc,.pas à parler cte saisynonymie.
Je rapporterai aussi, quoique-aven‘plus de doute, 1 Esox
Belone vire .P-ailas^* 'quê^éè célèbre--/zoologiste considère
comme un dès pois&giisV de;, la nyën Noire. M. NordmànU2
à s,uivi aussi.*s'0n illustre- prédécesseur, dans sq Faune poU-
tiqiwe ; mais, i l | choisit «és ^synonymies dans les ouvrages
dsSarrell, d’Ebstromyidej^Faberlet de Ni-lsso», et il affirme
que lesûoVpMes de la mer Noire nej diffèrent pas spécir
fiquemënl de celles dés*é<3te§;< septentrionales-de l’Europe.
,(^ômm*e il np. p^rleypa^ de la dentition du palais, sêul
caractère, qui aurait tranché la question, il me reste encore
bien; des 'mcërtitudeânsUr ^Cette'qssertidni .Ayant irbnvë
qûe lés figures qui avaient été données1 aVanX lui n’étaient
pas' suffisamment’ eXa'ctê'S; il en ‘a^donné une nouvelle. Il
noUS- apprend que ce bBîg&ôn %st' partout très1-abondant
dans U met NpjrALes Tchèrhessés et lès Abases'le pêchent
au iùgy.en de -longues lignesy auxquelles ils attachent, a la
:‘ï. B^ürib’.j-riffîïm&stt,p. ÿgjrp. 'cp.
2. Fauri. poïtt., p»';v>iîî,'5pL 2'S'y. fig.'U-.