En travaillant, en indéterminations, de. cet
"admirable ouvrage, je signfdaibien déjM^uelqainunS;des.
publis que jeviens*.de, montrer*;. mais (à, cette époque,
élève ,eqcore timide d’un maî.Sçëf ®èsr illustre, je.p'avais
pas . la righésse (ÿçs| .p?atéi;iaux.; réunis: ippur. composer
l’ouyrage j-ctuel. Cependant je,.remarquais apfsç, et^ayêe
raison, que l’.ËXQ.r qyinus dpMitchill devaitêpc considéré
comme unev e s p è c e d u , t,Gyprinodo.n avarié»
Aujpurdrhui je vais plus loin, j’erttrea^noeiis identité»
IVjfâis ,cpmmed|Lute|p' américain lui-drapait six rayùna'iaux
Ouïes, je crus qu’il ^iavai^.eu^eîFèUï^dan^fé^compte fait
par M.^Boxc^et jêl^e induction .me conduisit.à penser
quelle 'Cypripodon varié avait six r^yops aux ouiesiyçretrouvant
^e_i nombre, dans YEsoæ jlavulus% de Mitchill,
je pris le s .six^rayons branehipsjièges,' pour „Je #aractcre
du genre .Cyprinodon. Jë ..cpmposaj^tdqnjc ^après Le Règn^
animal, un fgêpr.es;tout^-fait fapdf,,,qui n’était ,plus nifcks
Cyprinodons^dejÈacépède^nlm^ràd..çeux déjQuvier. Trop
confîant_dans la petteté dé la diagnose jd e si^ e b i^ , jâ
crus je genre-bon „.et J ë l’adoptai : dejsprte qu’en corrigeant
quelques erréur^échapp^Sçà M.-Cuvier, j’en.çpmmis d’autre
^ et q i^ :4é,l^ssaÇençore une gr£tnde.sopélusion d ||k ,
cës, gqnçés.’ v i
Dans la^secQndet^é(Mtipn du ^çg^e^pimal ,:M:ijCdyiéria
bien voulu admettfe mon travail s u r cetteTanûlleoOn y
trouve doue le .genre des Lebias conservé* celpi ^es Fun-
dulesypëtabli, etmelui des Cyprinoaons;earactérisé par les
six rayons,de.la membrane bjanchibstègf^. mais l’espèce
citée, cpmme .représëntant cf^ genre en .Europe,;, sous le
nom,dp Çjprinodon Timbrar est un poisson^d’une^tout
autre famille, voisin <|£s Erythrins, ainsi que quelques
ichtbyplp^étesi l’ont1 déj% reconnu, et comme jéTe dé-
moutrerai 'avec plus ~de détails' dans-la suite* On voit,
pour le , dire ( euspâssantfjipRr l’exemple de ce poisson -1
d’Eurôpé“^ . |^ qnefe deviennent ,ëes ^grands tableaux dp
classi^aîi|és-iet de "divisions en famille^fâits, par des naturalistes
q u i, cpnlentent d-ess%ey;fde prendre pour
eu*, pais un Simple néologisme, si ^dangereux pôle les
sciences, les \ travaux‘d^$i!isernblë“, -avant defe^è doùnei«la
peinp^4ey f ^ nsul‘t’eï; d’ab ord l<a. naf-dj^pl
^W^ë'foat; quéq’ëus ^b^bYë que mon Tibias rhomboidalis
nësto aMfei&pie le ^ p fin pT b ^ v am ë ^ d ’é ^Lacépède, les
àntrës .corrections sëivi^nt avec facilite, dautant plus que
j’;âvais-tdéj^tifixé-lès Éunduies-du grand et celebre ichthyc?—
logis te, >• siîij^Vsnm' t emami^de Buffon.. „
T’ai^aucpfup changerais le nom de Lebias*
parce* quë tous ichthyoiogistesl ont adopte sur 1 autorité
S H R B f -Cependant fêK né puis ftiëmjîêcher de
^ ë p îf f e ^ â n s la s'ciëncl^é%nre Hydrâigÿi^ dé Lacépede;
ilkÿrait’ fâllu alors cfFâoer le nom de Cyprinodon: établi
pa^Vèt^^vânt, ou le laisser coipmMn.sÿiionyme quLgu^ait
''éonsaqrérunlgcjrèur dffppétërmination ; jepi' ai^pa^ ëru cela
Signe demotje ouvragèV'et j’espère que lps if$]i:thyologistes
voudron^^ieiiisSmnformer àycette nouyeïfe nomenclature.,#
ou plutôt qu’iis-t reprendront le nom ancien que
ÜVL Cuvier n’aurait du ni transposât ni remplacer par un
mot nouveau. *
| Les Cyprinodons/conrms d’aibord parpine espèce américaine',
existent en Europe, e£ sont ’surtout ‘ nombreux
en Orient. Comrn.e les Poecilies*Ces -petits, poissons sont
vivipares, et ont les mâcboirgs.encore un peu déprjmées,
mais' cependant un peu moins. Les dents sont disposées
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