foji€^çlent%ieoffliw«vles autres brqdpj*; les sium*.«™** ;iWEÉ^riHiH
prQ(éreiinens| %pep;jdfqA dfs |Mpj^a»fies,
gulaire; il surmonte un ^ u ^ e p e i^ le étroit et droit; l^meropercule
est petit et il a.ses borSs^ndulé’s;de préopêrcübl est grand et arqué ;
les pèbtoràles 'sünt^larg^f^it^ovâles; la dorsale assez^liàüte fet pj^cée
un-p*eu‘ ptus avant tpié ràriaïe pB’aillèurs plüs^Hite ; là caudale
est tfrès-'Êohrte et lêgèrèRient'éGhancrée ;* les "écaillés ■ èont petites,
avec üne légère cfôprèssibnserT V. Cette dépression est d’un brillant
* métallique v et ÿ©i|t«iî|awgeçt ev des-couleurs dri&éés qui donnent
un trèsrbel aspect f ^ ^isso|t. Il y. a- des? écaiUes'sur les ^percufes.
.s Voici les* nombrçs tels !^ue M..?Lgs4eur les va comptés. .,
vjÊÊQmÈ 22;-Æ.il; îC:i,\ 9 ® P. 18; V. 10. .
lia epulêpr e ^ d ’un vert btxinaîce.d’oncé sur le d|ssjus du eorps,
^(passant au /gris clair et-ceqSré^ reflets yèr^&tre^sùj;
1 (R'entre éyf blanchâtre; de no.mbjr4,uâès.laches oHfongûes^alp^gges
ou rojideSj^pfus ou in oins régulières et p r ess é>es'^mr^'île^| forment
deiPortés' W'Smdes lon^udînafés''1 sur le"’corps; le s^ ^ ê e ^ l^ ,
' rougestm ora i^ ^^ son t^ )w e roe s‘ J9 e 'taches, boites.
Qésl un b e a u e t grand-poisson, qui paraît rare dans;le
Wabash; car M. Lesuéurriaen a?vu que le smimd iv id u
desMn&rit décrit péadipit son séjour sur les bords de'cotte
rivière Il :a ëtriprifo an mois de ^Novembre par^Mïsj^Ipre^
Fount Leftfy, qui le pbija àM ; Les üeur lofs; d ^ lavVisite
qu’il lui fit a New-Har m ônÿitde'/pa jp, ,au nom do -notre
,.voÿàgèur, lé tribut .de la gratitude 'des naturalistes -pour
la- libéralité avec Jaquelle ^ p ro p rié ta ire américain a
communiqué .ce.beau poisson-à ■■•MULéSpea*. ; -
Je, dois Mre remarqued/îei qu â p p o g u é oîi " JI. le
D.r Ricbardsoja noüs en v o y é au retour ^ e l'expédition
du, capitaine Franklin,les poissons ramasfés dans 0 , p é nib
le vofage^ je ne eoanaissais^iainsi que ]Vfe Cuvier, que
Ye$o& r e tw u la tw d© liésneur, et que? nous le distinguions
de notre brodhet d’Eùrdpe, parce que celui-ci a le bas de
Fëperctd%iuiDepmite qui lion a; reÿonn» l'existence de ce
caïuctèreidÉfts plusieurs amres-espèces américaines, je vois
qu’il faut tenir-compte dautres caractères y et en comparant
çette description* avec; celle du D / Richardson,
donnée sous le kom d ’iLîoSr estor>]& crois que l’on pourrait
reconnaître dans le poissonèdu lhc Huron plus d affinité
et ^dë VésSemblance mênm £vee Yesùfr* depraudùs
qu’avec Xèéêôc ^ori^Êe^ nombrés sont leS mêides; les
écaffleS s'ont três-pétil?esy puisque ML Richardson en
dêrripte cent soixante-deux rangées longitudinales'; le corps
•est très-brillant:„ MgMMjc, un point quf'rlste’ encore à
examiner maintenant, afin.de -rectifier peut-être^la détermination'/*
que nous- avons "nous^-même donnée, à ;M. l|e
D* Richardson., fo
jC e fitfOCïtET’' REMBRUNI.
\ (*Esox lugubfosüs, Lesueur, mss.^ $ ÉÉpM
Enfin, je trouve encore-dans les notes de M. Lesueur
la description, d’un.brochet quû me paraît très- voisin du
précédent. Cependant il erf ‘diffère. ' '
M* Lesueur5 dit que Cette espèce^.est distincte,-parce
que «sa tête est pins courte et. que sa queue ‘est-plus
longue y les couleurs*, aussi-ne permettent pas de les confond^.
? On trouve ete poisson, dans les eaux qui coulent sur
le calcaire secondaire des montagnes du district de Cumberland,
à CiabbcflÉkhie^f: PPhite cmrity ) : la description