française que BloeÈf a ; publié« lu i-m êm e a Bodin* et où
il y aanéme assez de lacunes* pour qu’il soit utile, de
recourir quelquefois au texte étranger.
Eaoépède avait laissé dans sokTgeare des cobitis les
deux espèces linnéennes, et iLy a ajouté une nouvelle^
d’après les renseignements qu’il avait reçus de ^ t -Noèl de
la Morinière. Il est. évident que ce. dernier avait induit
M. de LacdpèdçTën erreur. La. note de MlWoël, retrouvée
dans ses papiers, montre qu’il avait sous ses yeux. une"
jeune lote (gadus Iota), prise^oomme il arriveùrèsHSçmvent,
avec les loches.
En cherchant à faire cettçlrectïfrcation, je suis arrivé à
en trouver une autre. G’eàt que le cyprin verdâtre n’est
établi par Lacépède que sur une mauvaise "figure de: la
tanche commune (cyprinus tinca) qui lui avait^été^éga*-
lement communiquée par M. Jtoél'-ae la M^-rinierp.
L a Loq&ài;^iiANCgÊ.A.
, bmrbatukij, Linni)^*
Quand on tie n t, dans un vase les deux espèces de
loches de nos pays, il est toujours aisé de distinguer parmi
elles la loche franche
à sa tête, large et aplatie ; à Ja Ipnguçurjjes; barbillons ^j.eftdus
au devant et de chaque côté du rpu^eau ; à la. saillie des yeux,
aisèzmobîîes; a la longueur dès pectorales; In?*enfin à^Tà-peute
tarbft noire qui existe sur la partie inferieure de l’insertion des
rayons de la caudale : le Fond de la çouleur, quoique différent ,
n’oiïre pas toujours une coloration assez tranchée pour qu’on ne
puisse pas confondre -les deux espèce?.