1 1 6 4 LIVRE XVI II.H#YRRINQϮJSi
Je compte vingt-huit rangées- d’écailles entre l’ouïe et la caudale
uneécaillgjïa le bord libre marqué dejStriçsjcôn'centriqués fron de s;
le centre^est. grenu et le- bqî^radfoakautdçuze'rrayqns- à; l’éventail.
La cüùleW^u ’ poisson fjcdnser-vé.d^ns l’alcool • é§t un peii r;©ns-
sâtre surf -Ies écailles! du(‘dcfô>, lejir ‘borcp^etant gris blanchâtre le*'
dessus ~et^Jfëï dessous de-la queue roügeâtr'eMe ventrQargènTé .et les
• flancs traverSés’pâf ^Lé ^petits .t-rai'ts VeilS®C& tfôirs, qui,, ne. ^élevant
pas jùsqu’âu' dos,’- cTépassent pëii-lâ^li#ne-?latéFâle^^né.descendent
pas' sôiïSflé•^Vên’tfeî-Jb'u la queue: WiKé hbirrhs$e£dè‘oes traits,varie,
seleefepëâ individu?, dèudix-*,à^e!$é. et-même. dix.-huit; et ils^alter-
nent aussi * de lmigufènr4,: surd’ins.èrdon. dés^ra^-ons.- deÿ&lcaudale
il v a un, deux ou quelquefois .troïs*-points,nqif(siV Les: nageoires
- ’ stfnt incolores; vég
• La 'splànchriolo§ié dès; Cypiidbdbhs resSeinlSÎS- beaucoup
^G&JUfëides roe®dï^; elle-prouve que et's espècës
sotit fâû'ssi vivijpîësl; Il ify^a qu’un seul ovaii%= dans lequel
j7âi d'éjà-vu cdnleiSut dés loeiüs formés. Ils sçtnt
plus 'petlpnet moins, nombredx'"qtpï ceux ’des*Pioeeili^5^v
-v- Le-Canal intestinal est- imoins.iong; d’ailleursril -est -de même
formé .d’un oesophage^se portant djabord vers le- côté-gauchn.,-' puis
revenant vêts le~d-iaphraghie foujours dans ce- même?*hÿ.pocondre|
quand il est .sous la cloison, il se contourne un pèurvers Ja droite,
descend lé Iong’odes.-parois musculaires abdominales, se’recourbe
’en dessus, fait^déûx ’plis brusques, puis il sé^Coufhurné pouc,’embrasser
datfs son-Unge la mas^e "det.l’qvai’re sur laquelle il, passe,
-pour se rendre‘.â.-lWüs. Le foie est petit-et- sur les deux premiers-
replis dè"' l'intestin.' Ilsy«a une vessie aérienne unique àépardis* argentés
-, mais rnirrée^pomme une membrane hyalpïde. Le péritoine
^est d’un noir très-profond en dedans et argentéccqntre les muscles
du^ôrps.
' Le squelette ne diffère pas non plus d’une manière çssentièlle
de celui-des Poecilies. Il y urtreize vertèbres abdominales et quinze
caudales. Les trois premières ont ünë. apophyse épineuse comprimée
êHAP. X;XI. .&YPR'IN’©DONS. 1 1 7
en dfâme ^-basse v qui rappëïlt&^ë^quës 'nous voyons dans 'la, grande
vertèbre 'îdes-teyprins-p mais^ën dessous’ ieme-ti^uVe rien de ce qui
forme»;cette>,grandetyeYtèbr,e, >et;?fe'diqsositioririle la.vessie aérienne
devait-jf|iireép-résumef-, qu’il e.rT étaitdinsi. J
,Lgi c îé^ tou s nb|t exemplaire^*' est d’en v iron
q n ppuc'e h üm f LianCS;V d eu x
• (^et.te ^ ë s c r ip t ia g i^ ^ f a j t ^ u î '^ e is (tfin d iy id u s trèsrtjiqn
dp n q fs ,aq^a,btine t, d u .Roi^a.^JVI. ,1e ,che valier
i- sh .cq n n u p a r l e s
travaux - s i^ l a ^ r d ^ & © .\H .Ihs-'a’ÿ ^ p r is -m u c%|$ Cagli’ari ;
noifS^niavi©jWEiçixd1 2a.f.tr,e^aup:araiv;aséLt,'donYÉés.à^M.'Cuvieî
par M.
Mai§ l’esp'^c^hbile,enc(Uÿfdifl©‘ieû te s parties d e l’Ita lie ;
a insi, \ ï? (iqstâ 1 a f â ^ e ’t^ ^ 'u s lS o N ^ u iiie dè. N a p le s , et
d a nÆ s d a cÇ S u p etits ruisseaux communiquer!^;avtto
la jnQ v /T ^ a ia tusa liste y j n a,ipubliét.u n el d èsptiptiom sous
ItCnonp q % $ t | | i “yait d é jK é g im p ^ e par ”80116111. Il ljà
•accompagnée,d’une exqélléntç. figure. 11 là oh se r y e e , m e le è
à v eod ’e s p è ^ ^ u iv a n t e , d,ansries<qK‘psdTarano, et- S p e ttl e t
' ditShs'-les. p etits ruisSeatix-*Galéso, Gervaro, q u i versen t leurs
*;eam'x dansîfê;|oT fé d e T a r én te .'L è s habitarîs la :d é sign en t
sous l e ’n om de Maremïsulo' o u de' Vitj'ioloÿ o n d it aussi
Mino sicia à Surbo sur la .t e îr e d’Otrante^f :
L e Gypkinod o ^ p übanné
(Çjcprinpdop fagciatits, n.; Lejyias fasciata, * V q l . ,,'
Il existe dans le h^me%1|ng d ^ a g l i a r i u n e autre espè ce
d e GyprmdcTon, ’n ô ^ e u l ém e n t l i f t in c t e par lès! cou leu r s,
mais en co re p f o r m q s , . s d u corps et (des. nageoires.
1. CosÜÿ Fàun. neap., p! ' 3 3 , pli XVII, fig^a-
2. Val. apud Humb., Observ. zool.‘j t. II, $>'*58.