près du village indien de Gùaîdhiu. Lat. i 5 ° $2' Sillons.
y-Iy.â^ Ouest*''' ÉÉ fÜ r-'vr>v;.
jL;Oresti,as d’Owen.
I Orestias Ôtôenii, , nob. ) ‘ ■
* Epfin, j’ai ënçore une petite espèce que, l’on prendrait
pour lin jeune-cyprin voisin de nos! àhles ou de nos gardons^
La hauteur de leur tronè égalelalongueur de la tête, et le quart
de celle dû corps tout entier; Le museaùséSpassez gros et arrondi.
Les^nageoîres; ressemblent à celles des précédens Orestias.
D. 13j A. 13; Ct 31 j P. n;,V.iO. '
Dans celui-ci pn vent une bandelette éiroile bu un gips trait le
=1>long du ébrps^Sür les plus grands individus le trifitJioir’ est pâle,
mais tracé sur une bande targeûtée.
Ces-poissôUs paraissent »toujours je les trouve
indiqués par treizeuiïiiHè. pieds au-dessus du niveau „de là
mer, dans le lac Htcos au sud de Guscéi t»»
Je menais un vrai plaisir de dédi&r^cëtte espècè^fmon
célèbre ami M. Il; Owen ,.^ompatriôtç de M. Péntland.
/ƒ O restias blanc.
( Orestias' albus, nob_)-:
Un de cés Orestias, le ‘ plus éloigné éti Apparence des
autres ' espèces., »est le Carache', dent les riverains du lac
Titicaca distinguent deux’espèces, en> ajbutaftt à leur nom
les épithètes* de blanc* et de jaifne.s '
{ UFoseph de. Jussieu a laissé; le dessin d’un Carache, mais
il est d i f f i c i le de dire laquelle' des, deu.x variétés a été
représentée.