verses se dilatent en Une lame «courbe* qui-s'étend sur-fes^©©tés^
La seconde forme, parl’ëlargisseUîent de Ses apopbyses; la double
Sphère osseuse des Loches.«L’extrémité devient un petit tubercule
élevé sur le côté de la boule creuse, au-dessus de la fente qui la
sépare dè la troisième vertèbre. Je -ne vois p a stf apophyse 4.pi-
| neuse a'qelie-ci j mais sfes-apophyses rraÉfsVersès'S’étehde'nt >en larties-
fecourbées en devant, et vônt îÿô'mpléte'r, aVeè^cilles de lajyér-
tèbre pfêeMen te, !1 ’enveloppe o'Ssêùsre cle la vessie aérienne. -
C7èst une sorte d’Mÿpertrophiè dès lames Vê'rciCa’lës deda^CSepé.
Elles cachent un très-petit stylé "Qtfseux, lorigl-Éôiif^u plifs:M’une
dëmi-lignéy'qûi est l’os de Webber. Cés laines Osseuses «fSWt, s Oïu s
la Côlontoe vertébrale,, une-double cavité} dont la séparation* est
mieux marq#êé<à l’intérieur qu’au' déhor'S.t Elle ^çohtient l'organe
qui, malgré sa pjace, a tant de "ressemblance avéc la vessie natatoire’
des poissons', que Schneider -ët ses ^uCcesspürs ont éU Sâfstin de
lë considérer comme telle. Cette-petite Vessiè a des paéoisatf’gen-
fées "ë't doubles: j’ai pu, malgrédà petit esse, ^ëpaffeV^Ri lame interne
de l’externe, qùi "est fibreuse. Dans la lonhe franche, Il a deux
vessies,» accolées lune à J-autre, 'Séparées parun »êtran'glément tïès-
étrôit, mais communiquant par un cannai'transversal qùi mh-paru
donner en dessousr-*î§ conduit dirigé vers l’oesophagèr' "
J ’ai dit quBj malgré la place de cet organe, il fallait Jbien
le regarder comme la vessie aérienne. Toys leS-naturalisf&est
sont d’accord pour ranger les' cobitis dans les cyprin©ïsdes;
mais tons ceux-ci ont nue grande vessie' à'érjérihe», d i\ liée
ëtJ sttüéê 1 * 3ën atfièlè de l appareil* ossëux îfer la gràüde
vdftèbfe. Pourdétermiûefjla^Vës'sf^ des cobîtis, il faillit
aller prendre . sesanalogies dans la famille gês^|ilur’oides.'
On ne doit pas cependant oublier que dans les espèces'
de cette famille la .vessie n’est pas pqmplétement enfermée^
dans les appendices de la grande vertèbre.
lOëst dans &,e-smer1 queisè^trouve le premier bon dessin
de notre loehe?;fianoh^j;pa!ree que ^pimme ;il le dit lui-
même, la .frgmerde ïf^ndefet est très^défectueuse. Belon
n’earn'a pai.donné, et Aldrovande,- simple'jebpisfte'de Ron-
ctofut., aa- pas plus,-àidék tï®J‘‘ naturalistes;’* Il faut dome
négliger le§.,premières citations d’Artedi. Willugbbya lui-
même, tout; en-étamt fort ,e x a c t^ ’>a »pas, faiti une anatomie
des-Lophus; aussi, détaillée qu’a l’ordinaire. -
Klein3 a publié îÿaveetlieiseule ^espèeeuiiie^asse^ bpnne
figp-fe-, en la plaçait dans ,sb$ ■ Euchelyopus.,,. avec lan-r
guillo et le goujon. | s
] Il ,|n existe deux reptefijenEatipus dansfJe manuscrit de
Baldner,;çjté parWillughby; l’qrie d elles appartientfaf une
vgri®^ jaune ietldip^ée, que :jè 'n’ai jamais rencontrée dans
la i§eine. ,
-- Duhamel4,dit aussi fort peu d^|choses sur cé eyprinoide,
dppt il a dipnué une passable ^figure. Marsigli5 6, en la représentant/
sous le nom d e :fundulus, me paraît donner
une idée, trop grande de cê poisson; 'du moins'nous ne
le vofybns jamais atteindre à. de telles dimensions. Rio ch ^
a laissa une bonne description sd^ isette petite espèce;
accompagnée d’as^ez-bonnes .no,tes sur ■ ses- -habitudes et
son usage comme' aliment : il l’appelle loche franche.
Ce poisson s’avance assez, haut vers le îN-ord; toutefois
si nous le trouvons cité dans le Fauna s u e fjç tf^ e s ^ que
1. De aquat., Flahcfi-,6ao ’■
^sgWilhighby, zW/ji^l^p, bHg^Xy. L'
3. Miss, quart., p, 5g, n.°
4. Trait? des p£ch., part. II, sect, l I I , S ^ i r.|"3', pi,27, figi 3.''
Mars. Danub., tab. a5, fig. 1 . t1’,
6. Bloch, ‘p'l. 3 i, fig. 3. ■ *’ •*' 1 ^ ’
1. Linn., Faun. vel edit.