468 LIVRE X V I II . C Y PR lN O m E S .
nombreuses et aussi intéressantes. Pour lui donner un
témoignage, de-ma gratitude, j’ài.crudeyoir lui en dédier
une. J’ai aussi renouvelé “â M. de Humboldt, pàr la dédfe
cace.de l’une d’elles, 4a preuve de mon amitié et duspm*
venir que j’ai gardé de ses conversations aussi bienveillantes
qu’instructives. Je ne pouvais me dispenser de; placer à côté
de 'rce grand nom celui de mon illustre maître, qui avait
tant-regretté une ; occasion par laquelle il avait espéré;di|
connaître les poissons .du Jae de Titriçacé. J’ai voulu aussi
faire:reparaître en ichthyologie le^nom-célèbre dés Jussieu,
afin dé rappeler le travail de Joseph. J’ai cru enfin devoir
consacrer aux savans qui ont fait faire tant de progrès à la
science, les espèces qui me restaient à nommer, efcl^s nôms
d’Agassiz, d’Ovvèn, de'Millier, quelj^cite avec plaisir depuis
si long-temps^ Sont vênus se tracer d’eux-mêmes.-
# Z / O rESTIAS ï)E ’ i^CuVIE.R.
%Qresïias Cuvîeriy^H
'La première espèce Md cejgenre. sêratpour. n.ous celle
dont les .-individus ^paraissent atteindre à lapluS .grandie?
taille, et qui ont dans leur dentition, dans te:. déâèloppc:
ment de leurs boucliers granuleux et'de leurs 'éea#l§S| un
* ensemble dé' ç^ractèi’es dont les àfitrês-Msp^ésrn’d&ïB&ât
que des modifications^,-
'’>;Çest elle que je dédierai à M. Cuvier ; ja là'crois tout-
à-fait nouvelle. Je ue trouve aucune preuve que Joseph
de Jussieu ou M.. de Humboldt erf aient eu connaissance
... La tête de ce poisson aune ressemblanrce-nloignén, mais
cependant facile à saisir; avec quelques-unes dé nos synan-
cées. , \