être *'copiée dâtos»%lLnc^V©pëdiè1 d «^représenter
M É pÉM iÉ t
Quant à la descTipfioé, îfest aisé' de^ècfeirinaît’re qu’elte
iï’ê3P'pâ5»'du nombrê^ d#1 c^l“e^$|edlg'ë^s par Artèdi ;*yM*
y remarque beanèotip iàdrïëxa(îtïrad:ë#S-et4 èe qu ’jl y a
ti’èxact,*%£t‘présenté jSanVlpëîfeodïf'et fl’une' manière obs-
cure, f a u te u r d it'q u e ; l ^ l è v ç ^ p eu ventôse retirer Saus-
la vj^rfae.antérieure* dn ^alaimril désigné' atfnsï’la saillie'des'
branches horizontales des maxillairès^l'gsfOJri-Ms' àhté^
rieuresi et tubuleüs|^»sont âppeléfs*#^ p^etié?’ ^iWnïdns
pendaüs, qui ,*examiïfés^de jfrrèfs,;ffie s®nt#utrë choâe qûë;
les, pÊ^relâchés de la membrane réunissant les dèhx jfeyres
entre.elles. On ne compte *qnëtroik,Payons-^l’anale; les
visè^fees étaient en mau\%ïM'fëtïit ,^at r^ te û rÿ n ’a IpuT déf
terminerai l'appendice anale est l'eJcarlfëVèfé,d'ù'^eÉé^feiâle
ou femëllèÆ# de&criptron aMtO'miqUe de cetfë-xé'fge ^rpré
l’on ^a dtojL-\«é desHmlles, «rempltés de nfatièle jàltné; e t
gluanteygembiable:jj&l%lë qui' éntourê"îai|i^'HPbn frètes
guêpes; et des bqûrdonspêCp attssi vaguè^etaMshmâtuVaïsè‘
que celle yfcéfoeil.
Gronovius'y Tlaj®§; son MüSétfip* èt osftfe ^ ;'$&dpfiQrta-
c ium \ a donné1 une figure beaucoup meilleuéesét lout-à-
fait caractérljéê#^ e notre'piferfère espèce * celle qui a lèsf
yeux le plus éêâ-ïbés : s($n individu le tait, une femelle? ;
11 n’y aurait-aucune ofispryation à faire sur le texte des?
cripfif, s’il ff avait pas'cpînpté un rayon’de trop à la membrane
bramdhioâïège; erreur que, Walbaum a reproduite
dans%on édition d ’Artedi, êt que -Linné a aussi copiée
1. Pasg. i>2^»;0 5 a , pl. I , fig. - i , ï., 3.
2. V$g. n'I, ip/36^ tab. I, fig.*-! ) 2yèè
dans la X.,e édition d u Systema naturoe. G’est d’après l’autorité
de Gronoviu&eet d’A rj^ li, que L in n é à in tro d u it
ce poissé n dlan^èesI oeuvres^Mais soit??,que le prétendu
barbillon :1a.bouche l’ait, in d u it en e rre u r/so it p lu tô t
par-cequ’il est évident'queiçeq^and/zoologiste ne s’étaitpas
fait une idée.„arrê|jfê« d u genrg Cobitis, il introduisit notre
AnablepSi pomme la première «espèce;;d|s,, Lobitis , - prenant
le noms-générique -d’Arteçli pour en fairë^la* dénomination
spécifique ‘d u ’poisscm.
,.On doit-.remarquer que Linné a|iOute, dans sa XII. édition
: cirrus, u%rinàjm dd^ sinus oris, quasi tentaculum.
Touté£ ioesr^e-dtes’ erreurs-.respltentdé/ce que Linné n’avait
pas^étpdf.é ee poisson i.d’après.rriâîÈure. *
Bl^f®ée|t,' Lapépède^]§ jjjl même .^ b q u e ^ r e p rir e n t
l'examen,d% notre poisson} majsyiL faut avouer qu’aucun
i^efsichthyologistes nedp$> un traj|aibacl|çvé. Le premier
de^sdeux reprend bien le genre An;ableps d’Artedi ^mais
dès des; premières? ligues de %om article on voit qu’il ne l a
pas ^compris:-tJEn effet, il, dit que çè genre’ ne >||nlient
que deux espèces, celle figurée, dans le Thésaurus de Spba ,
et lemoBîtis hétéroclite. ?3%)us aydâs vu,‘ il estd.vrai, que,
da-nsViom édition posthuqip, il a placé qelui-ci »parmi ses
poeyiliesy-mais il n’en résulte pas moins que l’association
des deux especes a, gâté|fë|genré ftyrt bien senti par Artedi.
Bloch,-qui possédait ’un assez^bon nombre d’individus,
de ce ^poisson, sans doute à cause de ses; rapports» ayec
Amsterdam, ,a représenlé un mâle et u n e , femelle d e ces
poissonsj mais le trait,est aussi lourd que l’enluminure est
I. Bl., XI.' part. , p; 3 pt. 5,6t.
J. Hist. des poisson«-/ 3 Vol. tn-4-°> *798 à i8o3.
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