est, ton tenue trois fois et un cinquième dans la longueur totale, la
caudale comprise. La tète ;égfde-la hauteur dû» tfione} ^l’épaisseur
transversale : d’unè bosse opereulaire à l’autre, mesure moins des
trois quarts, mais un peu plus des deux tiers de la longueur dê> là
tête. Le diamètre de.l’oeil est 4e quart de la tête, et il y a un diamètre
entre lé bout du museau et le bord antérieur de l’orbite. Il
y a quelques petites dents sur les mâchoires. Des boucliers grenus
couvrent le dessus de la tête, le préopercule, l’opercule, le so.us-
* orbitaire. Les boucliers s’imbriquent, comme lesnecailles sur la ligné
moyenne du dos .çt sur la région de la poitrine, mais les ' Vraies
écailles à stries d’accroissement concentriques ne commencent que
vers la sixième rangée» C’est derrière la nuque que la ligné du profil
sîélève le plus fortement.
D. 16^A. 1 5;«.38; F.- 22-, V. 0. 8
La coloration de ce poisson est plus uniforme et plus pâle’ par
la macération dans l’alcool que celle du précédent. Toutefois il y
a évidemment un fond jaunâtre qui- démontre que le poisson frais
a dû être plus, jaune que l’autre ctfrache.
M. Pentland nous (a donné, cette espèce squs le nom de
Carache jaune, et U-l’a vu prendré*avec les pîucédensqlans
le lac T itic a ç ^ ...
Ce savant;, voyageur dit; en général des- ÇaracKçs que ce
sont les pqisspûs les^pii%fbondans, et les moiris estimés *dü.
grand lac de Titicaca; qu’ils abondent dans les endroits fieu
profonds eticouverts de plantes aquatiques.
CHAPITRE X X III.
Des .yjnçibleps.
* Toupies auteurs, depuis" Artedi jusqua M. Cuvier, ont
parlé d(^¥Anabïeps, éCceperid'ant eèl’pbisson et le genre
dont iFfest le ïÿpé^iont efféôfè fôrt’mal décrits et nullement
Caractérisés.
/ C’eftf dafas le bàbfiiSt de Sebû qu’Art’edi le ^yrt pour la
prènjâérëf ’fois. Sëlofi ^sa‘ coutume, ^ in ln e d^ ^ ^ îïeu r au
Tliesaîiritè rerùm n a p ira îium jj,' ’cet, iéh'tWôIogiste -lui
donna dé i?t>m que Jte jpûisso’n 'a. Ê"o.nServe depuis, maigre
laùtbrité)tfé Liiitfé, lit lé '|^nî'f'Ariablepà prit rang dans le
g éné ra OU le spècies pisùiurh% ’liïaijtnrirÀe place ait on* est
étonné^déle Wpif.' 11 *fut placé 'aprës lefe murÆhfl ou les àti-
fllillël^ entré ïe‘|rare^PHipfflg S r c e lû i des 'CvMNOÎtr^
Arieûi eçrit qu’il èfn l fait donner une figuré' eé défis
ll%rah(Pouvrage’ de Sçba. %ependarii^tté gravure est* si
peu^coÈréctè,~qu*iL me payait imp^sible^deriiré si le n.° ^
( lé ^& t^ lS ch e 'W ^ é p ’rélénte notre, première* ou notre
' Wcqbdê $ $ Ê m ' j incline 'priur' ta preiriiere, â“ cUuse des
lignS^traëéefele ïongdu’ cBrjri. La têîte^, vue^de^f^è F ,
.me paraît aussi avoir été faite d'après l’esfièbVà’yèux écartés*,
m i l s alors," dans le , la saillie du^museau est^trop
/grande^les’ orbites/sont trop hâutstWtrop jgfè’I'on'yd ît
'donc que'là' déterminatiun’spécifique de.ce|te figure frest
difficile, incertaine* et cependant elleva été choisie pour
Ï. TJiei. rerum nat., n pl.