Puisque j’ai trouvé des; femelles de cette espèce , je mie
rapporte à notre poisson que celui de M. Ruppell, dont
je parle ici. Cest pour cette raison que jé n’adopte pas le
nom de Lebias dispar, qui serait très - convenable si la
femelle était aussi différente du mâle que M. Ruppell lV.cru.
L e Gypristodon de Moïse.
(Cfprinadon Moseus| nob.)
Cette espèce est distincte de la précédente, parce quelle
k ' 4 j g f le dessus d« 'c< # plus. groT et plus ?onjl. W H
recalée sur la seconde moitié du c6rps\ âon bord est arrondi; elle
| c° urte et ne % a s s e pas la moitié-de la longueur de la queue.
L anale répond à Tà-plomb des derniers rayons dokaux, et elle
est aussi courte. La caudale estÙQ^pééearrèment.
D. lt)j A. lt ; 6 .
U y a seize dents aux tp^choires^ la couleur est argentéeriæ dos
est couvert d’un petit résïâu noiiftle, dû a la reunièn d,è points
pigmentaires, sur le bord des" écaillés. Une tache noïre coùvre
^épaule; dix à douze petites lignes verticales, irrégulières, souvent
divisées ou anastomosées, séparées par des points, qui deviennent
r d%véntablfes taches ( ^ ’agrandissant, -«ouvrent les flancs,. teTverttre.
et le dessous de & queue est argenté; toutes- tes- nageoires sont k -
Ér colores. ST
Nos plus grands individus ontdeü^poucesquatre lignes.
Le ^Cabinet d u Roi en possède depuis longtemps un
assez bon nombre, qui avaient été. rapportés d'Ëgypte par
M. Geoffroy Saint-Hilaire. Depuis, MM. Ehrenberg et
Botta en ont pris aux bords de la mer Rouge. M. Bové a
trou védes siens dans les sources chaudes des bains de Moïse
près Tor.
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