il y 'ën a qu’il a pris lui-même dans leà eaux de la mer à
Massuab;-'1'
A côté d e 5 ces^éxêmplaifés jà’ dorsale et à 'anale xdiïrtes,
j’ai à placer un'Indiviau quènML Botta a rapporté d|F en-
virons -de MaSsuah, et 'dont Ife côrps ■^H^KDmprimé et assez
élevé pour que' sa baute-ur ne sé^t-aussi que f-trois1 fois' et
demie,d.ans la longueur to^àlè. îl a*donclesédimensions du
premier dte nosexemplaires*, avec laJ brièvetéjd’esmageoires
vertid&llPdes troisièmes'#dailleürs ils ont touSles mêmes
couleurs. f-
J’ai ouvert“ ce ,dernier, exemplaire, - éi£je merM’isIâ^suré
qu’il est une femelle', dont l ’ovaire unique èst‘ gonflé d’Ceufs
développésÿ|. ainsi Cfetste e|pècfe^iestqa#si -yiviparév *C|pCta
observation pîçpuye également que la femeUe.d^qenç^pri-
nqdon a la caudale rayée, la dorsale h a u ^ e^iyqJée ■> l’anale
marquée dè'traits.noirjs-sur tesqdferniefs raÿonsKèommeiles
- ,M. Botta a aappoïte -unu grand^Bombreiid^pe’tifeflndi-
viçlus, Tous de même taill#,"longs, dmn pouééfà’ ùnpo-ucé
et d em i,q u i ont les mêmesr nàgêotrëS' impair^; .mais-dé
dos paraît plus noir. Je retrouy^{fîétte même -, variétés dans
le'SKmdiyidus envdyésv-du Jourdain p a r M. AucbeDrÉloy.-, |
Les Sdifférenlfes "variétés.«que ^ v jp d s d ’énumérer,' prou-
%gnt que j’ai exaiAme un. grand nombre deVpéissons de
cette espè'ce-f et quelle est bièncaraçtériséé paroles -fines
rayuTés d’une dorsale plus; où moins^ongüe, màisftoujours
étendue, même-quand elle paraît ' courte, par une anale,
également "grande^fj^SquL a toujtOùrs ,,- dans 1,a lc o o l les
derniers« rayons trayerSés-alternativement par des rayures
grises, blanc de lait ou bleuâ^tj^æt enfin par-une caudale
ornée de deux ou trois; bandes verticales. La tachp noire
de> fépattle-6st'ai)sSi.É^8?i:onstant&< Je- ;rétro uye.d ailleurs
d ^ î ô t a e s its V a rié té le rtême'nombrerde rayons et de
• d?eÉÏT§: 1 v t : - . . ' . . . .
m ristànde g g ï caractères ' m engage a j considérer
1 euccrreî comme * appartenant g cette-'espèce,des nombreux
individus,que M. B#|%prisfeaux bains de Moïse, près de
T o r, dans-des M qui ont-de § § à ^ d e g r é s Beaumur.
Tqus mes individus m S M M W signales ;.ci-
dessdi, ma is? ,g»* U corps griveté dé-beaucoup de points
bleuâtres ; ' le, é b r p s ^ e q p ^ ^ t ' un peu plus rond.
Je ne ™ qasndeyoiq-en faire- une* espece, distincte,
parée que H gBBB M- M M If M i l Ehrenberg, qui avait g g g
m Lehias
Iw ia tu s ^m à celui.que*j’ai adop|é, p^Q| qm l caractérisé
mieux J’e s # S , la grandeur des g g g g tenf S» sans au"
|u n d m f e f a^ a jc^ ssan cé du.poisson. - ' .
% cypri-
'W È Ê Ê B Ê M nom d^L eb ia s dispar | M j ce
pqtit p o > so n l^ .^ u iè u rs Jsqivantes. r le^do^ est brun ]au-
' nôtre ^ e ^ c t e e t ; l e v e n t^ ja u fie s ^ g riv e le s de; rouge et
(telbleu; la dorsale jaum e,,ta^ iètée,d e b ru n ; la-première
m M M H be^u mêèIèSêêBSSÊèIÈSM secPnde ï
m o itié b le # M B B W H nôqe,s;da,.caudale,
bleueM W H i barbes vertipafgs^Epîsavan^^geur &&
Trompe qumdûEn^|cîmple fque trois rayons a la membrane
branchios|ège,;mais il a remarqué,que ces,.poissons
sont vivipares.,,.;.
1. Ruppell, Reise in Nord-AfriJca, p. 66!;-pi.