CHAPIT ÏÎE XXI.
D es Poecilies, des ‘Gyprinodojis, des Fundules, des
H y d r a r g ÿ r e f et Grundülgs.
Les itëfehyôtogistes qui liro n ife nouveau travaiFéon-
signé dans la suite dédfâés artîefè&ç verront, en lejcoïîipa-
rant aux premierVéssais* de M. Cuvier chfnsde' Règnéahimal,
ou a'ceux que j ai' insTriés ’dans des RecMrcHesitiè- zb^fogie
et? d’anatomie compa^e>:d^lîÆ.'i3e HumlfëMty avec 'quel
spin j’ai, rMondu la,monographie petits p'pisspns..
Plus j’ai examiné,e t décrit ’détails les' nomRrëüses
© p è ^ ^ e ^ ^ ^ e i f r éV ] et plus je mfe suis' convaincu qüe
ces püiMoïis' njgSdoMnè pâs ' l i fâmill|
dé t^Gÿprinoïdes^sf Td^vetit conserver'-dans - l'a -méthode
le ~ranf qûë ddR’IgâM^r^la rco*üp'é ^pM%é-L/^m^s/ ’-et si
fSn ne wiïfpas la faire dé1i||ffîdp^a' la^p^^ié^de^c^lle <du
genre 5 & Ç à -d ir e , qu’en pat faut de lisp^é^%d!nÈfie pré-
mier&bhefon, le^mre"est^platfciu"-second rang' eCjâ
famille au ttpj^èj^uer^j
Les g ^ ^ ^ ^ e ^ n is fËans le dix-huitremêHivÿë* d é notre
Ichthÿolo^ié^ont^lüs, daüs l’o rd re ^ ^W flM p té ry g ïe tis
abdominauxflfe;arâct%§s'nets et naturels vd’une structuré
de' mâcbdiŸés^émblablesfuêébintermaxillairçs soutenant' à
eux l’arcade supérieure de la btvuche, lesr>dreux
maxillaires formant, derrièrp»beux-ciVûn â,rc cpncentriquëÿ;
é t la mâcholrje in fé i^ e u ^ ^m rip li^ iè le cercle de louver-
ture orale. Çé^'céfàbt||^,'qointS"à ceux qui®rConscrivent
l’ordre auquel appartient cêfte ' famille , la /distinguent
CHAP. XXI. POECILIîES, ETC.
nettement et suffisamment des,Autres malacoptérygiens abdominaux.
% grand nombre de.genres et de groupes variés,
té^bomposera :de poissons sans dents aux mâchoires; mais
la nature fera\ reparaître ces organes'spr les mandibules de
plusieurs antres. Elle montre par-là, au naturaliste que Jes
dents ne- peuvent être . considérées, dans .c e tte famille,
comme un carâ^tèrede première^valeur,, a* cause de la profusion'
desteformesigénériques: ou .spécifiques qui appa-
radssîept ^ygeides'mâchoirpi inermes. ÿ '*j ,,i ;; •- f _‘<J
Les>.:&araetèresf ?anatomiques- d e 'to u s ces cyprinoides
prennent, par leur (similitude, confirmer leurs rapprochements.'*/
Cependant un très-éâèWp ^iehthyo'ïogiste a eu une mab
- îiôâère de itp'ir différente d e la mienne. M. Agassiz, dont
jïft^êlre'lte talent autant1 que j’aim^ le „ caractère, a cru
devoir faire une fami%îdeiicyprinoïâe^omposée seulement
des; cyprins subdivi^é|l^en; nombreux - genres, et
deStLochesyïégalemèpt.partagé^. Il a établi ensuite^'sous
- lelnom;deiCyprinodontes, une seconde,famille, composée
®||tinableps, de&’poe < é ^ ^ .W .p r in o d cm s e t des genres
B’abordqe* me hattel d e d ire qu au fond il n y.a| pas entre
nousrd^véritable ^dissentiment^ il n’y a que*de simples
; àuances.f dans l’appréciation'de la valeur des,- caraptères
pour. Agrandir :éu resserrer le ^oerelpi jdes' familles’i nature
lle s . Dans- le mérnéiré’ p u M. Agàssiz- pbommencé à
| émettre l’idée de diviser ubs- cyprinoides en deux familles,,
j h a 1 caractérisée comme nouSTtejgroupe^uquel il: réservait
ypé^tiom, en ajoutant‘à la diagnose de la famille 1 absence
des dents. En un mot, il -hafpââr.cbnsidéréf qu’il dût
ekister■ des|rèyprinoïdeS; avec des dents aux mâchoires*-
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