encore qu’à une seule espèce de. galaxie vivant. dans les
eaux douces des terres Australes. Cette observation explique
comment Cette espèce a; été . donnée, pour. le
Galaxias truttaceus. La* figure ne donne pas moins les
caractères du genre 5 mais elle représente le Galaxias
attenuatus.
M. Darwin l’a également rapportée de la même -île,
et l’espèce a été décrite et figurée pat M. Jenny ris1; il
l’indique d’un brun verdâtre sur_ le dos;, et'devéüàn't plus
pâle sous le ventre, tout le corps étant couvert de petits
points peu foncés^
L a Galaxie easoiée.
(G alaxias fa scia tu s} nob.)
Les eaux doutés de la Nouvelle-Zélande“ nourrissent
aussi leurs espèces de galaxie: Le Gamnét du Roi^en
possède une dé ™ baie dés îles. :
Elle a le. museau un peu plus pointu ; les dents des" mâchoires
aussi fines; mais celles de la langue- sont: plus fortes. La dolsale
et l’anale rondes et hautes, surtout 1% seconde ; là caudale cafrëe;
la pectorale elliptique, et la ventrale arrondie est plus loBgü^iÿùe
dans aucune antré espèce»*
D. 11; A. 1 3 , etc.
Le corps est traversé par doiizé^a jpàtorze lignes blanchâtres
sur un fond roussâtre, qui était probablement verdâtre. sÉr le
poisson frais. Les nageoires-sont incolores. Une .tache .bleu-foncé
est au-dessus de la pectorale.
Nous devons les trois individus, longs chacun de trois
1. Jennjns, Zool. o f the voy. o f the Beagle fishes, p. 121 , pi. XXII, fig. 5.
pouces, à MM. Qiioy*et: Gaimard ; rtiais je trouve dans
leurs notesr qüe cés : poissons. atteignent à neuf pouces.
Lessom ef Garnot en ont aussi rapporté, et l’un de leurs
individiisvèst plus grand ; ib a quatre pouces et un tiers.
Des baleidiers leur, avaient donné ces1 poissons à la Conception
du’ Ghillh :
Les indigènes de la Nouvelle -Zélande ont désigné ces
Galaxieèyi sous le nom de Para, aux compagnons de
M.- Dumont
L a Galaxie, de Foester. •*
('Galaxias Forsteri, noK-, Esox alepidofm%FoTSt)
G’ë&^’àupyës’“ dê'^éés* deux éspèoèsîlqüe nous plaçons
édile dbséWeé’paéFdrstër ; en 177*3^ dans lés mêmes lieux;
et qu’il â nduimée' iSfodr alepidotus.. Nous ne pouvons
plus Aujourd’hui conservéf;^une • épithète qui Convient à
toùtéS léséspèÇésMü gënrè*.- ^
Celle-ci à*le corps semblable aux précédentes. Les nombres
des ra^nlsonràpeu près les mêmes. La dorsale est haute, arrondie;
' rânâlé,wégalêmèift rondej^st plus0 étendue sbu^i la" queue/mais
à?oîjis haute' Lâ "caudale-» l’e'étî^Qiiitde lobes arrondie;^ *1$
■ Centrale est! assez large-et* tronquée..«
B. 9,ou 10; D. 11; A. 16; 6. 20; P. 14; V. T. . .
D’ans lé texte, le savant voÿâgéur dit que le corps est brun en
. dessus;-mais,sur ,1a figure, tirée-de là bibliothèque de J. Banks,
il est! peint, en? vert rembruni et cquyert de taches jaunes onduleuses
, imitant des caractères d’écriture.
II lui donne neuf pouces de longueur; c’est celle de nos
truites ordinaires.