#
nogiraphie, ou verra quel'inégalité desdents,-da-'hài^Èeuf
de la dorsale, et les carènes de .la queue tiè peuvent être
considérées" que comme des .caractères spécifiques.* C’est
^îè qui 'nous a. d.éterminé> à ue pa.s adopter -gefe nouveau
genre et à signaler la découverte dë M. G o c ^ comme'
une nouvelle e t très-intéressante orphie! Noua, regrettons
toutefois de .ne pas savois»si - elle^a des dënts au palais,
mais cela« tie me parait pus probable.
M. le prince de Çanijio a pupîié,: dans ;sa Êaune.ita*
lienne, une très-bellé figure de eë poisson, accompagnée
d’une description trës-détailleV: iL comptequatorze rayons
à la membrane" brarichiostège:- Le genre Tylosur-us. a *.été
accepté p y çt^t habile-zoologiste. Il Croit que l’on doit;- à
cause de l’identité de la dénomination wdgaire, considérer
XEsoæ imperialis dé Ilafinesque 1 ,<§"omTnG de gla rUgmé
espèce, que le poisson de M. Cecc©.' Je mfc range- très-
volontiers de l’avis de M. le prince Charles Bonapér te ,<qui
a étudié avec tant ’de soiri les poissons des inér^italiennes;
et dont, l’autorité en Cette matière est certainement considérable#
,
* L ’O r p h i e ’ d u S ç n ég ^l ^
. (JBelone Sei&gàjenpis, nqh. ^ |
Nous trouvons* parmi lé&'pMsSOns" envoyés' du Sétf|gtd
trois individus rSalhêüreusenient ‘assez mal conserVés^d’une
orphie qui doit être; d’une espèce distincte.
•La longueur de la pectorale, la hauteur de* la dorsale et surtout
cellë dé l’anale, la largeur 'du lobe anterieur de cette nageoire,
distinguent, comme espèce- eette- orphie.
1 . Souy. genre sicil. * p. n.° i&7>
| i ëes. dfentsicuniques sopr plus fortes : ih ÿ a des dents en cardes
à la mâchoire inférieure^ Comme à la supérieure, et elles font
plus nombreuses q&ç dans l’espèce d,éi ,1a Méditerranée ; comme
dans-Cel'l^ëi^-palais estdisW^Le corps me paraît plus trapu; les
nombrejg|fes rifÿons sont un peu différéps. ;
i ' i .D . l S ; A. 16 , etc.
' Lat.e,QU;leur ,ai dû,Jê^.e{jirgeaté%^%i>on3 voit des, traces évidentes
,,;,de taches .su^.Fanale« ,
,.,tJ;pe autre particularité tiès-tiotable de.cette espèce consiste dans
le-prol^gement.dëÿ.apqlthysp^transveFses des .vertèbres abdominale,
lequel ’esrias^e^. considérable pouf que, par la*simple pres-
- sion,vOn; sentie la dentelure que:font ces-apophyses à travers les
. musclés.Jongitadinaux du«corpsrj y,
Le plûs'^iâhd de nos'individus ne.’dépasse p’as quinze
vm t l h oflT ère èWoyés par Mi le contre-amiral Jubelin,
alots^diïvérneûr de la coldnie.
L ’O r p h i e A CAUDALE ’TRONQUÉE:
s> 1 Ç'Belpne truncatci, Lesueur).
. Siélèus passons det Vautre côté de VAtlantiqûe, nous
trouvons aussi .plusieurs* orphies' sur les côtes de l’Amérique
septentrionale. L’une d’elles.a été décrite par M. Le-
sûeur sous le nom de Belo.ne truncata&(ûe caractère, tiré
db la forme tronquée de.sa- caudale1, ! la distingue assez
bien, de nos.êjspèces européennes et même de la plupart
desa'ntreà.,'/
Elle a le.bec assez, prolongé'; car la longueur totale de la tête
mesure lë Uërs i&^^donguètn' èntière dâlhdrps.
Le dessus du crâne est aplati, ses frontaux antérieurs sont striés;
la cannelure qu’ils laissent entre eux est large et écailleuse ; les
dents sont longues, pointues, plus grêles que celles dè l’espèce
î S S . 4 °