designées comme nouvelles. Le hasard m’a du moins»assez
bien servi, puisque, eiî publiant ces descriptions dans, une
monographie d’espèces n o u v e lliste l’Amérique, lu n e te s
deux s’est trouvée américaine. -
Dans eeS-derniers temps M. Qo s ta,, en ’ 18 3 9 , ^ p n n a une
figure aussi élégante que d ^ c é ||e j olie petite^espèce.
Une description détaillée.préced^eette planche. L’auteur
cependant ne noqs fait pas-savoir si le Lebias est vivipare.
Quant à la 'déterminalion' sp écifî qunj yce$£él'é>naturaliste fa.
bien reconnu les affinités de?s©n.espè&'avee mon Gypri-
nodon.fqscia.tus, qu’il a cru américain ;/mais il a-considéré
comme distinct le poisson italien, et il Ta fiolhmé Lebias
flava. Il l’a trouvé réuni et mêlé au précédent dans le. lac
Varanqc.^
L e Gy pmn o d on. d’Es pagne. .
-. (Gyprilîoâon Iberits, noE) i
Nous devons à M. Teillieux^ jeune médecin, qui\lime
les^ sciences naturelles, une nouvelle espèce de çlugenrê,
ce qui en établit une troisième ên Europe.
Elle a le museau plus court, la mâçhoipë inférieure^jjkfs arrondie
et plus saillante 5 l’oeil plus grand et plus près -du' liouédü
museau. Les dents sôüt tricuspides', la pointe du rfiilieu est plus
alongée que celle dès-précédent es. J ’en, compte quatorze. La queue
plus courte èt plus grosse, la dorsale et-l’anale peu alongées, la
eàudale plus elliptique^
D. là; A. ff G.
Les étailles sont petites, le eorps est1gris plombé et traverse par
quinze à vingt traits verticaux -argentes. Il y a-iroîs bandes brunes
sur la caudale, une tache noire sur les derniers rayons de l’anale,
et ceux de la dorsale sont noirs.
Tons nos- individusinont- qu’un pouce de longueur. Ils
ont é t^ p d ^ ih . Bspagneiparde médecin que-j’ai cité plus
haut : l’espèeê.est bieWdistincte ^nouvelle.
■ Le A<!«Qtss«4$^'r;.,
P ^ ë ^ p k nM o À ' lUnatjus; L'ébiàs
Il exist^.iansÿÿen(lO^en^dé^pprinc)dons quipy^repré-
senl^nvn;os} ^pè^es* çL%j§$^a2gne,^oiu ^ aP^es .mem,e,
par da ^ p osition-4e$ elles
vivent dansdes eaux dd&^ie ^ dpijç^tgs^dg 1 Ab^sjniei^edes
f|e -eràïgnentfpas dètS^ourn ^ |d an s 4’ea^.
renbèpg 'eh a piis dans la mer de MasSuah? MMi Rüppell,
: B 6 t# e Ç B o S qui q n t Mr&ÇnT % ^
ont rapporté .de nombreux rexemplairÿ|m Éqr'ope.
S S , deux’naturalistes allemands qnj ont fait une^etude
a s s i d u ^ s ^ o i i q n s ÿ ^ r s k a l , ont,et<| ^ ^ ? p r d
p ô u ÿ c |M r| r a r o
prinus leucisçuss du;j^qÿiageuE»dàpt>is..'Je ^|^serve^ maigre
leur, an to n tfj| b eau co u p ^ e ^o jite s à; é ta b lir|^ ^ e ^ n o -
nymie. Forskal donne .aison poisson la longueur d’un pied,
des couleurs o u ,des proportions qui ne peuvent ^ac-^
corderSyec/cè que nous offrent dit
que le front^st assez large, pô^r'qpp lès yeux^spient <Jp|gnés
de tfpis foWfpur diamètre : le d^s^n^ .de la tqlq^Olàit donc
proportionnellementdeux fois.pLu&^l^rgê que celui de nos
4 oyprinodons. Il exisiPun trait doré longitudinal derrière
les opercules..
Cependant les détails "des Couleurs des deux variétés
s’accordent ensuite . a |e | nospe tits ' qypririodons. Faut-il
croire que cef deux diagnoses, ne se ’rapportaient pas, à la
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