L e Sgombrésoce^équirostre. .
'* JÇScàrnbresoæ equirostrum, Lesileür). 1
Noua, retrouvons ,1a seconde espèce, décrite par Lesueur
sous le, nom qixe nous lui -conservons’, dans lin
individu que M-. Gay. a rapporté du Chili, et que ceis^ant
voyageur a bien voulu, déposer dans, ,1e Cabinet du Roi.
Ce poisson a les1-deux'mâchoires égales, étroites, - grêles et" un
peu- recourbées,.vers le haut ; les'.denls sont* d’une .finisse extrême ;
la longueur du bec fait la moitié de.celle de-,Mlête entière,- laquelle
est, com.prise^trpis fois^et demie dans la longuei^^atale.
La hauteur,du corps n’est que_trois fois et'demie dans cell^de
la-tête; l’oeil est de grandeur médiqcrèpfêÿqUs-eirbitaire est mince,
étroit, arrondi en avant et en dessous^ la ’pectorale * fisc tiqürte»
échancrée; la ventraleî'est petite;! a''dôlsafê'testi feâssë ; l’^rtare'-l’cst
davantage; la^caudale-est fouïchue. ' ' ",
57 11;' 'jt. '1-3; P. 5—7l S p l ; P:A 6.
La couleut esFun^beau bleu d’outrè«-mer sur le dos, 'devenant
verdâtre sù ^ e deuils du crâne; une bande plus pâle -sépare, sou§
; là forme d’une large ràte£,tiette teinte foncée de celle*un péu «idins
! intense, quiiefommence à la lignes latérale ÿet-qui se,fond-.insen-
siblement dans:rlé sblancr, du -, ventrp., „
Lès nageoires,;ainsi, que le dessous de la mâchoire inférieure,
ont du brun verdâtre, mêlijà la teinte bleue génépahudu,pois|pn.
L’individu q u e ^ décris ici est long de ' neuf \pcucfes ;
je ’le'dois à l’o hli^èante*. communication'-que m’en a' faitë
M.-Gay. I t t bien jvoulu me laisser prendre unTcalque du
dessin qîtlil en a fait sur le - fraisai et m’a donné,ainsi'la
possïbilité^de j compléter ma description.. En comparant
cet exemplaire fià. la figure de M. Lesueur, il est-impossible
dé'douter de leur identité spécifique. Si dVilleurs,
le texte -dé la description insérée dans le Journal des5
seiei^pes de Philadelphie offre quelques différences, elles,
dépendent'satas aucun doute de ce-’quelle a ' été faite
d’après/ un individu -desséchei'et conservé dans le cabinet
de Boston; e t M- Lesueur nettdit pas- que le poisson eut
'été-pêché sur les’ côtes-dejs&États-Unis. N
Dans - sa>- grande- êfe importante Famine de New-York,
M. Dekay a ? réuni lÉi deux eâfièCés ae Lesueur en une
seule.'de ne partage pas éelte^pjinlon, après l’inspection
dés indiyidus, de la; epllêction du Muséum. Le sco.mbrésoce
équirostpe ©st'-appele^pànçessavant et par M. Stprer, Bill-
Jish. Ne r evoyant pas devoir adopter la dénomination de
-1Æ. Lesueur, il a désigné, spn poisson sous le nom de
_Scombre&ox Storeri. Il lui donné cinq pinuules au-dessus
Mt au-dessous de la queule. .La figure,* d’un jaune verdâtre
sub’îe^fos et blanche^ou légèrement jaunâtrë séries, côtés,
offre une ligne, blejueylongitùd'inale. |
M^S^arer donne, plus 4|.détails sur le Sccfeib, equiros tre
qup|S(|n compatriot|f|pàr ee^que le poissonvjgsjt plus abondant
sur.,leé>côtës du Massachussets. que sur celles de, New-
Yiÿrk : il arrive, au map^God â*ux’*©nvirons? dlQetobre, un
peu plus tôt W m ù peu plus ia rd , suivant la saison : il y
esfel’objet d’une .pêche consi'dérable, parce que les riverains
de ce cap l’estiiiïeftt comme une'nourriture fort agréable
au goût.
L e SeOMBRÉSOCE DE EO'RS^ER..
(ScorfWJièsOx L o rste ri, nob.)
Fors ter nous1 a fait c o nn a«trfe', - d e p rÿs long-temps, qu’il
existe .-sur les» côtésî de la Nouvelle-Zélande un scombré-
sqce très-voisin des précédens : quoique ce voyageur nous