M V,RE J£ VIII. SG,p RIN O ï DE S.
M. h M’ctalland a vu cepoissen. Il luL,esompte ainsi les rayons :
d. 83 à. 6y e . 195 p. it ; y. 9.'
Il a observé que l’estomac et 1’'intestin forment un tube
charnu, continu, pas plus long que le corpè. La figure
donnée par cet auteur1 est une Copie de cellë.dë M. Gray :
c’est le Platycara maculata des cÿpririoîdês de l’Inde,
Il faisait partie des Collections recueillies ,dans féS* montagnes
du Boutan, par M. Griffith.
L e Bamto-re ' jUsoïk ^
(Balitora nasuta, J. M.) ,
M. J. M’clelland donne encore^sous le nom de Platycara
nasuta, une espèce distincte de ,toute§, leS-p^oédentes,
et qui pourrait bien être le type d’un .genre particulier"
. Son caractère le plus apparent cônsisie dans son museau,' subitement
déprimé entre les yeux ,f|¥|ërea.sé d’une largéŸossëttB-entre
les narines. Le corps, gros et cylindrique, est rçeo'uyerîjfè trente-
quatre rangée^ longitudinales d’écailles sur huit dé hauteur. Les
nombres sont :
, D. 10; A. 6^ G. 15 ^P. 16^$. 9. -
Ge poisson; long de six p Oh ces yra^ëtfé^ÿouvépâr M. Griffith
dans les montagnes du Rasydeh. L’auteur a d’abord décrit
et figuré ce poisson sous le nom .dé Platycara nar
s u tâ y dans le Journal de la société asiatique du Bengale2,
fit il a reproduit le dessin e t la description, sans y rièn 1 2
1. Ind. cyp-.,'As. res., trXIX, pl. xr.ix, fig. 2.“
2. Joum. As. sot* bf.Bengal., vol. VII, part. II, r838, p<,§%,. pl. LVJfig-a,“
changer, dans'le mémôirë sûr‘léÿ.c^prinoïdës de-l’Inde.H
L e dè^e’t les hCgeôireslsdnt Verdâtres'; le ventre est blanc.
L a figuré dé? ta tête, Vue,en do|s|Hif, quoique un peu
embro’qillëéî; •montre que la^bouchg^ est ouverté sous .lai
saillie dit musfiaù; ma iso n nya*indiqu#àùbuns barbil-
lons. ipfoe'pa^O'ir ës - paires patâissent largéslèt carrée?? /'sans
se' tqti'chëô" jugdffpar ïa^figulfë du dessus «.dé fa tête,
iëî'Vërais' assWporté à cÿo-iffe 'queyGë^ppisson n’est pas du
même genre que tes'autres b a lit# ^ ;te t ’jé lui réserverais
le nom de P laticarA ; mâis il faudrait avoirvû l’animal pour
me prononcé,r; pins pOsitiveteêiât^'tc’çst pourquoi je la |
laissé protisbiremen^’â la suite* dfis' aû'tres espèèés.!f •'
1 Ind7CYp^, ^ Jm ^ J v s> \. Xl\ pl. yvjlCp. l^p’ot ^8.