ces, différons passages prouve que le poisson dont^nous faisons
l’histoire n’est- devenu abondant que* pan- suite des
sages- ordonnances rendues, -sous le s ,r è g n e sH e n r i VIII
et cfÉlisabeth, pour assurer là^cpuservaHon d’un .produit
aussi important.
Pallas \ constate - l’existence, du brochet dans:, tous Iles
fleuves, les rivipr.es^oull^s^QSFde l’empire russe, et dans
ceux d e .JJ Asie'orientale, l’Indigirka, leChatanga et l’Amur.
Il le-fait viyfe.aussi. dans la mpr; Glaciale et-dans" la Caspienne
pmais,. il dît qu’il ^manque à faC rim é e ^ t u uK am t1 2
schatka. Je,>lq vois cependanfîndiqué dans la’■'Faune p o l i tique
de M; îNP.ordmann , qui remarque, d’après^M. Krin.ycki,
que les brochet&,,de la mer d’Azpf par^is&mlvUn peu djfféj-
rens ; dçs môtres.i; c
ï Je lis aussi le n^m ^de Xesoæ Lucius inséré*parmi*les?
poissons-de Milet9, maupsoosAe^p^m de Triple.'»Gejnom
met laisse quelques.- doutes- sur kex%ctituf|^e-la détermination
du poisson pris, pour un ,brochet, et. ç’ekyg|B fqui m’a.
fait*présenter ceîte^a&SjprtioUpaarnc incertitudmau_no*mmen-
cement dep^e chapitre.:
Gmelin âvaiti dit, en citant Sçhoepf^ que notre -brochet
vivait dahs rAmériqueusfptentrionale.fPejà ~M. de Laçép
pède avait cmdeyoir distingueï/cqçoissôn d’Amérique de,
celui desieaux douces:dé l ’Europe1, àcause deda-difféiepce
assez grande qui existe dans le nombre des rayons//
£§Uf ne faut pas confondre, :en-effet, le poissqn desieaux
dej Ne\V - York vu par/'Sehoepf, aven l'espèce* d’Europe, il
n’fest|pas; moinsjvrai- que -gglle'-Iei'-a?« été 'observée par def
1. Zool. Ross. asiat., p. ^ 6, 1$
2. Forsk., Catalog. fisc..,Milet, apud Faun. arab., p. XVIII et XIX.
docteur Richardson-dans son voyage, à travers le nord de
lAmériquer septentrronâle.- Il en à^rapporté ' un du 'lac*
Hurbm, qùe q’ajfexaminé avec-M. Cuvier: on né pouvait
douter #que cet iiîdividu ne fût de la rhiétoé^'pë’ce que lé
brochet? d’Europe....
' Tous- les' autesârsi ^accordent sur -sa^grandë Voracité;
aussiVM-^de Lacépède- le nomme-f-il le -requin des eaux
don ce sî-$fm on-s eul e r»e h t; il dévore un grand nombre',de
poissons-de 'Son espèèëxou des autreé-^fluviatiies'-; mais les
^etits^ mammifères ; les ; ois eaux'aquatiques1,, les- reptiles ne
s;g>nt p ^ à l’a b r b d e ^ s attaques. 'On peut dire- qu’il sè
jett-e,éûr iitout- qui remftie ; - aiiisc à-t-;On noté, plusieurs
exemples 'de «blessures!*. ‘gï^vôsftfàiltfes- aux maiù^©û^aux
jambes de*përsonncsç-0éeupiéef?»/laver- ou c marcher' dans
leau: Pendant cite déj^ee^rait,remarquable d é voraéitéjt
un brO@heikta-englouti laetfêté d'Un>^ghé au moment où1
*qé".palmipède^ plongéâit sdn long^éon sous l’eau, et les
deux?atiimaux «yitroA^èrent la mort. JJnye autre fois,fon a
vu un br'oc’hefédfeputeMmne"loutre Une gr'oSse carpe déjà
p<rise?||Jtéëer mammifèrq|redoutable- atix poissons.
Quelques auteurs prétendent que dèSf^erchès| particulièrement'
cellesttes lads d^fesps^^auraient ëjté détruites
par les ;brochets.i: On peut cependant remarquer' que ,les;
deux- espéee^exiàté.nt. .simultanément dans beaucoup de
bu- vâ’étangs d’étën due« ,pe ufïéonsrd érabfëj D’autres
é^ûomistes' cÈofeûl efiid' la perche^nuit au brochet parce
quelle ;en unange les^iceufs^u „le frai..
On se ren^çk aisément lèbmpte; d^-lêé gfande pûissaticé
destructive de, ce^abdbminal, quand ©n-examine les armes
redoutables que nous avons décrites-avec détail en faisant
corinaitre les,-différentes parties?! de*-sa?qêtè. La fgtàtndeur
1 8 . , » . . 29