Elle est publiée depuis mon tràvâil dfe n8T^i: mais les
ichthyologîstes n’ont pas été-en mesure de là rébdùfféîtfe.
La tête mesure lf qua-rt de ,ja Jongqeu^ tQtalç, ej^.esi égajç &ou-
vept à la hauteur’ du tronc? Les pédoncules de là* rÂâehoire supérieure
me-paraissent un peu plus Iong^"les dents senttrïcusplaeà,
' au nombre de dix-huitren haut et de yingt én bas |jléïlfe$ sont^donc
plus nombreuses que dans l’autre espèce. Le pVçmierràyon de la
v dorsale est inséré sur la première moitié du .corps ; mais eorqme
la nageoire est plus hautç, elle atteint bien plus prèsjde la caudale
que qans notre précédente ^pècgf L’anale répond àjffa dorsal^
quand elle est couchée, elle,atteint aussi loin-en arrière que Iana-
• geoire du dos. Cela fait paraître la queue d.u poissôn plus courte,
et le repd par conséquent’ plus trapu. ^Çesj deux nageoires 'sont
arrondies ; la caudale est cqüp^gplt^baWêtnépf.j la '.péctqraïeSest
moins elliptique.
B. 1Q; A. 8} G. 24î igg lfi j V. jg ' ■
: Je compte vingt-six écailles entre Pou’iè et la*caudale. La couleur
du dos, dans l’aïèoèl, est rôusse au ceiitre des écaille^, et; leur
bord est pâle. Dix à douze bandes Argentées descendent de la moitié
du côté jusque sous la Egme ififtri^irç du, profil. Le dessous de
la queue paraît rouge. 11 y a quelques petits points argeuffês,
visibles à *la loupe,, sur le dos de ,la, queue. La dorsale a les^trois,
premiers rayons grêles et la membrane qui les jjéupit, d’un nôir
très-Foncé, qui fofme un liséré qui va, en ^’affaiblissant, jusque
sur le bord des derniers rayons’, où il ne paraît plus que comme
une bordure grise. L ’intérmlle entre les derniers rayons.est tacheté
de points gris. Il yéa aus^TOe ces points_sur- les derniers rayons
de l’anale, dues autres nageoires sent blanches. Quelquefois ifc«j^.à"
une bapde transversale grise-stir la nagé^fe de la queuç. ,--
Le canal intestinal est plus long” que-celui du (ëyprixtodqn
i.~M. Costa compte les nombres autrement que moi. Il cKt :
D. A. 10, etç! /
J’ai vérifié, sut plusieurs de nos exemplaires, l’exactitude de ceux que ^indique.
ccilaritanus ; ïestamac plus*, large ; la vessie aérienne plus grande;
le p é r im a M de J*êm*&*&™'V** f » de SW W fîP
ne puisIdirQ|sj.,ce pqùfs.on est .potprne l’autre;,
un pouou six hgûps. Ils
viennent Aef^aux douces ém e n v i » » Ga#iart,
et nousoem is^mmes .re d e v a b le s Bonelli et à e
©heyalier i<ÊÊ la Murmora/4 ,s 1 ,
C’est en eomp&rânt ces e x em p la ir # » état avec
celui' qui pst conservé depuis très-longtemps dans les gale-
r » d u Muséum, que fâi pu m e ^cp ^ ain b rE d e leur ideff-
tït'é^‘ m a i s °m m ‘e ce dernier a ;éïe^ .al|e ^ par é. temps,
il en 1 que' les ;extrém*ités des nageoires, aussi deli-
W W W H détruite»^
H BMI premier 8 M I
— En effet, j f f l M e-t 1 anale sont
S M l i ^ M M i
lesffairevpius bâtîtes et moins arfOptïrèS^’il epâéco-pte avec
plus d’e& à itu d e , le Ro rd de la nageoire j j g g | p lu s d e -,
W m m m m w g m m M M M M s»r W IBm tm
â u l s i ^ x a ^ l l l é ’s b'andfelettes, et s » o u t les a » J |u r e s ,
' p r iv a n t Ü B m Ê Ê Ê Ë SêÊÊÊÊBm B Q
D’aiffeurs, le peu de m o t^ |i§ j V pÆ d it alorp ^ n sg g te x te
^ S f^ p p o sq nullement à'i|%dptnp.itrp J a ^ le Lebias fa s -
ciatus le Cyprino4on qui fait le s u je tte cet a rttjfe ^ v * |
J’ai eu soin aussi de remarquer que j’ignorais la patrie
des deux espéies doj^je-'doffn’Màd'a description .et lk ngure,;
je ne voulais alërâ | f e tdmplptfr cè que 3Vfe Cuvier avùit
laissé^ faite dans la prefftje® édition ^ u Règne animal,
o i les deux seules é s fë e jf î ont
R Val. apudHumb., Observât; zobjiefcanat.eomp., t.II, p. i6p, pl. Ü, %• 4-