ont du être placées dans des coupes différentes.; cep qui
est .l’ordinaire pour les^ genres de cette iehthyologie* Ce
nom grec ne désignait pas chez, Jes^aneiens u n ^ ÿ n o n en
particulier* mais il avait été; employé comme épithète
d’une ou de plusieurs espèces parées die; couleurs variées«
Il est impossible de les déterminer aujourd’hui.
Bloch, auteur dé çogenre, n’a vu que la première espèce*
le poecilia y^vipara : elle m’est inconnue,Celles qui suivent
sQnt d’abord deux doubles,,emplois'd’un même ppi&SOn •;
le poecilia coenicola eb]fêpoeçilia fasciçita étant .évidemment
la même ctajsç£: J& p.oeciüs_ majalis 0 $ d’un genre
différent. '
Quant au poeciliafusca, tira des manuscrits de Fo rater-,
nous avons déjà recopniu, par d’examendu dessin de, ce
savant naturaliste,) dont la copie nous a. été,^communiquée
par M ™e Lee (Formerly Bowdjçh ), que c’est notre
éleotris ragraGjïpus sefiëmstMufrà^fait^conhrmé dans eette
détermination , s’il nous restait quelques, doutes-à . net
égard p a rla lecture de la description entière« sG&tte prétendue
poecilie, faite par le savant pompagnOn. dCjlGook,
sous la d énomination de cobitis pacificaf les naturalistes
peuvent la consulter'aujourd’hui dans la publication;de4
oeuvres du célèbre voyageur, par- M. Lichtenstein.JNous
remarquons.., cependant ' que le zoologiste, -de Berlin a
oublié de citer notre détermination à côté de.eqlle de
Bloch. Forstpr avait eu une singulière idée.ten comparant
un poisson à deux dorsales au cobitis heteroclita, dont
il né se fajsai| pas une idée .claire; mais l’auteur du gepre
Éleotris a été encore plus éloigné de la vérité.gn le mettant
dans searpceciliesn ^
f. Cuv. et'Yal., Poissons, I. XII, p. âî>3.
Enfin, Bloch termine paritl’espèce indéchiffrable du
cobitis japoniaa d’Hcèr^uyny;
Lorsque M. Clavier publia la premier^- édition de sou
Bègue ®mm%l., ;il avait Oku ï p ^ n n àitle le poekiliavwipara
de Schneidérodants, <uml petih:p0issoh'-qùilfienait de Levâillamfê^
èé ornithoIogiS.tey q u i 'r sm q é n d u pîâèfece p a r les
Voyages -au daf-deuBOnne,^lfeprémBCÈ^iétàÊt 'retourné- a
Surinam, ja!f«krite;>i«‘ eu avait. ïappoatîé div«rse8|'coUec-
tiens dfbiskàux, de .reptiles et devpîfissbns. G.est«îoe qui
explique comment il a publiév^ansisOn Histqhàè dos oiseaux
JA frique p f hisieurs nspèép amérimid|g]Il céda à M. Gu-
' v iè rîg dollekrons%hth’3«)logi^uespq4r forent données par
ofeC‘ilïiast*r ^anfï-É la collection'du Jardin dès ffenteé,
- donAhïmaiit ^ è i t ï i c h i r t o u ^ g ^ ^ t o l f e s . ' r e r w a
des m^Êfe^exemplaiTeSi pour rédtifiep>dans mon travail «sur
ce genre de' ' Cyp rin o ïfa lies idéterminatipiisfcet «$4M?ao-
tohes qui. avaientifëtêihssig^^^ E u faisant ces
change tne«s, j’ai Composé et caract^èé tout^utrement le
’ g e ü f e 'd e s ë ^ iM ^ ^ 111 j’ai seulement emprunte Je nomja
Bloch.Jdki alors commis une erreur ©^étudiant sur des
exemplairessiissëz B I M W W Ü B W P de
ces»poissons, e^enldâ^at quedesùaâehokes n ‘en.'portent
qu’une, seule, rangée. M. Buvernoy1 2 m’a rectifié sur cé,
point-dans un mémoire sur le développement delà ^G ih e .
; Peu de temps- après la publication, de. mon travail,- 1Y1.
I Lesueur-faisaitifcènnaîtrea#uhe^füvelle espèeejdte®e>genre.
^ -Mais 'ie’én aturalisie'st.dut jusqu’à présent négligé de rapp
o r t e r la première-observation sur#èstpoissonSi vivipares.
1. Ann. des^sciiifcés’-iiât. ,'Mai e tf m» J f e
2. Ann. des sciences nat. tp tit, 'i&aXÇ