plus haute que la dorsale ; la caudale est arrondie, les nageoires
paires sont ordinaires..
B. 5 • D. J ; A. 1 j C. 24 j P. 15j,T. 6 .'^
Les écailles sont larges, lis&es : j’en-=compte vingtsquatre: rangées
entre l’ouïe et la caudale : avec une très-iforte loupe anipeut.obser-
ver les seize rayons-deFéventailsurune-écailIedumilieu-des cotésr
et les 4rèsrfines stries, .concentriques dont là sur&ce - est" rayée.
Le .bord .radical, est coupé carrément, l’autre .est en demi-reer-cle.
Je n’ai pu réussir à prouver la ligne latérale,, jeariil ne &utpas
prendre pour elle, les quatre ; ou, cipq lignes formées* cle deux stries
longitudinales que l’on voit. à, la loupe et par reflets sur les premières
rangées desentés.. ,
La couleur f .est verdâtre, plus: ou .moins dorée .au centre, ides
écailles, dont le, bord est vertirem^uai,(eè’qui fait paraître: le s poisson
recouvert .d’un réseau noirâtre.,Le ventre, des femelles pleines
devient orangé;,la ^dorsale a une: petite tache noirâtre,sur les
rayons du •nâKau.f l | yré&te iest gdb vi plus ou moins pointillé] de
noirâtre. C’est aussi, la couleur de.la iCaudale , dont le-hordsupé-
rieur ou inférieur.a^une ■tache noire près de l’im^rtien des rayons^
les autres, na poires sont, pâles,
Le gonflement du ventre des. poecilies est dh au .développement
.de l’o.vaire,, à cause de la viviparité, de f ces poissons; aussi esWoü
frappé de la grosseur de. cet,.organe unique quand :on puvfe. rlkib-
’domen. Le conduit oviducal, qui semble -lui. servir de pédoncule,
e§t assez long pour être facilement distingué. L’ovaire occupe ..toute
la longueur de là cavité abdominaleil n’y.a;qu’un très-pccbaspace
au-devam.de' lui et derrière le diaphragme.
L’intestin se porte à ggûuche de. l’ovaire, qusquWmilieuda, la,
longueur de l’abdomen yiji.se replie! et; remonte alars pour ïpasser
sous le diaphragme vers l’hypoeondiie' droit, .d’oà iil ;se icontourne
cinq fois sur lui-nïêrne en faisant, des plis courts. Il constitue
alors un . petit, peloton semblable à.celui que nous observons! dàris
un grand nombre de poissons à_intestins longs et enroulés, ou à
celui des têtards de nos grenouilles.
. «GJe tübe<digestifieS;t) quatre1 fbis*aüâsï fongqUe<fltorps quand il
d est étendu -et ‘développé, ainsi 'que-Fa T-eprésent'é^te Buvernoÿ1;
lé foie -eSt irès-=p,élit,- aplati-et-divisé «n-lobules qui s’engagent
-entre les -premiers3 phsdé' Intestin. La rate est-trèsqoetke -et“ ca-
> chée- entre' les'-hepffe^du'tulre df'géétif,
' - Duveraôyyqui a décrit âveëttanl; de3soin lès^fiVerJcs parties
du foetus^él^p^ctlîes \ 'ftf&orhpté quâtrëdén'gts^de4 d g oeu^- dans!
l’oVairë” disÉéqhef^àt*lui. CêS’ i^cfêleé' jednt ldusi OOfitehus dans un
repli du pérïttûrife hMtft-1 -Fa* fece- xh¥èrh%wéit^iiôÜ^éfte' d’un pigd
ment'du nOir -le plus - inîtëriSey tandis - que la faheh&terne>brüïé 'du
plus hel -éclat flW-geût m'at: i - | | | g | v | | - ‘f 'i%<' f ■ •“ ’
E n .détachant'à-véc-s.oih ce.péritoine, On-idécôpvre au-dessus de
1 lui et .sous.Ja.colonneépinièreiebd@jminale n^aeîgrand|yG^i|.^ovale,
dans laquelle flolter. ^ôus l,eau -la membrai^é^efessiy^I
‘ menv miïfèWçï^rgenjbéé cle l a d ^ 111
pas“ àiïr^'d'û^ÿnWaifè; l u - $ Ê 0 B î lbsï J qùT n h c^ p én t
•que--l'a moitié* environ ' H e la lohgueh^de la cavité'hBfl ohrihalé et
qui donuent deux longs-mi^etères rapprochéset féPrhânt une xKlèP-1
tatitræ assez .sensibles avant de déhouhber dans Jla vessie urinairé j
qui est'petiteret'hi'loflée, M. Dnvernoy a remarqué qù^ës* cornes I
de.:>la>^vèssïeiïles. petits .foetus Sont plus .lorigue^- que celles,.dela
vessie q e l ’adialte^êT,
J-ai .trouvé ;dans£l’intBstin desrdebri& dqlyêget'aiux^naî®l0s
Igg- dès- portions d’insnetef- M. Duverndy ^ o b s e rv e dans
son exemplaire des fourmis pfreSqhe- entières;-
lia. longueur du .pluS%rand de ces poissons est de-trois
pouces -ou de è ^ o fc ; mais llu r taille ordinaire n est guèra
que deux' potïees àideux qàoùûès - et- demi. J a i trouvé des
ceufè ^ év^oppÿ^'prës "a éclore dans; .dés individus de
quinze lignés seulement.
1, Aunftles des .sciences* nhüreïles Zo'dl'ôgiei t. 1,'hl- 'Xvn>