à ïesox -ovinus de Mitchill, auquel ©et auteur attribue à
tbrt sixl^ayuns à cette membrane, et jai placé ces deux
espèces dans le genre Gyprinodon, à' cause de l’affinité
de Tésoÿc orinus e t du eypriuodon varié. Comme d’un
autre GÔté je m’étais mépris; sur l’hydrargyre S'wampine,
j’ai donné, sous le nom de cyprinoaon, les caractères qui
conviennent au genre Ilydrargyre. Mais si j’ai, commis t ces
.erreurs, je n’ai pas fait celle de donner une description
inexacte, quoique^ n uKte. du poisson* que j’avaips&cjusde8
yeux, et la figure^quir.à iété publiééi par la dibérafitqiié
M. de Humboldt ■ est une représentation tïèsdidèler dans
son ensemble et daps les détails de d’espèce,< qui; doit
prendic èî eonserveï le nom (Vhydràrgyra majalis.
Mitchill1 2 3,* peu de * temps auparavant, dans les Mémoires
de transactions philosophiques d<; JN ew-Yorfe ,< avait, donné
une description etu n e figure asse^ exàcpi de cette -espèce.
Il l’app<|lle en anglais^^Vèw-ddcA Gudgeon, et^ à cause de
légers chapgemens dans- la disposition des- lignes ou des
points, il en* cite- trcfis. variétés. Voilà donc que «ettéîhy-
drargyrq a» reçu déjà* troi^,;ndm% lorsque M. iStorer lui
e* donne un quatrième; -car on ne peut méconnaître que
ce me Soit’ son kydnargyra trifasciatàË. G*stftee que tee
savant^zoologistp a admis lui-même dans son rapport sur
les- poissons du Massa ch use tsr4 ; mais cet auteur se trompe
quand il affirme que ce poisson n’a que cinq rayons à la
membrane branchiostpge f je «les .ai comptés sur plusieurs
individus d q grandeur difféfente, et je puis assurer que les
1. Cyprinaâon flaçulus, YaLapitd:îluroJb.,X)MiB^j2S3qL, t. II^.pl. LII^fig.ÙY
2. Mitchill, Fish. tff New-York, p. 43p.
3. Journ- ÿtiist. nat. dfrtïPlèiy. de fiostolft, T. I , tWSjfÿ.
4. Fish. o f Massach., p.*pî.
rayons-sont toujours au nombre de six. LeS^pêdheurs de.
l’État de Massacnuséts nomment cette ^petite iespécei Bass-
//y , à c^use de j[a ressemblance que les lignes longitudinales
du corps lui donnent^avec le striped Bass (Jhabraw linea-
■ tus, nob.fi®
M. Dekay,1 en-a publié aussi une-très-bonne figure dans
sa belle Faune de ISeyvvY.orlt. Qn v-;ypit dés traces de
bandes verticales pâles et; effacées, indépendantes de celles
toutrà-falt noires1 qui persistent SMMidÔtés''âe b quëue.
Gomme cet auteur fait-aussi mentitiPlîpf cette1 particularité'
dans son tpxtei^qoîï m’explique*,.commensal«!1 cru devoir
rapporter cette espèce® mon funduhisfeisciatus o u pcecilia
fagciafa d e ’Schneider. 'Les^trOisjâutres s'ynonÿpès placés
aveoecelub-éi, sont- exacts. 'M. DekayWn* pas d’ailleurs
compté.'fidèlement les rayons de la membrane- braachios-
tègu,^* , - i - i . * ; jj - ' g
Le mayfish .^abonde, dans tontes* l^s mares d’eaii sau-r
mâtre des-É tais-Unis, et malgré'sa taille^ né parattoservir
afis^rque daiporce pour la péefaedes’ grofeses -truites.
» Le-natUrlliste de^New-Ÿôrk q u e 1 j^ v ié ’rft“’ de- éitèr,J a
terminé se^hvdrafgÿrës parla description d’un KÿarargjrPa
atricauda f dom*il n’a pas donné de figure.
. C’est un poisson ressemblant !! son fundûlus piridescens,
qui a le dos1 'étroit''fet apl§Û atèdévân t’ dèJ la Bèrsàfëj le musteaupfeu
pointu*;* de nombreüx'spdres muqueux sipTlan tféu^frènte-six écailles
le long l,de' 1# ligne 4afeMè;'*Jle 1dos!'H’un brun olivâtre, tràvfefsé
'par dèsbàndès ftôifes; Une figT^lon^Ùdîèàlé süjt làj longueur
des -flancs, - et près' de1 la qutetie ûrîb bandelverticale nbire' et fdnbée
traverse la basé' de la nageoire. ’
1. Dekay, Fauri^New-Yoj^c fish .,';part. III, p. M6ppb 3i-, fig. 98-