1 4 8 LIVRE XIV. .'GtOEJOÏoeESJU.«
bandes noirâtres >3 !peine sens^lesi, ;et de points? bknçs ou<l>leuâtres
peu nonjbr^ïx, La première dorsale estnoire.et#ÿle'bord transpa-
rent/la seconde,est transparente, avec deux raiçs longitudinales npires.
* Cest u n p e tit poissons
L e P êr io phth a lm e ,a ne^uf rayons, ^
( Periophthalntus novemradiàtus, nob. ; Goèius novemtpdialus,
Buçhan. ).
Le gobius novemradiatus .de Buchanan j^.p. ,47 > ph 2 ?
fig. i4 ) paraît pn'GpEp devoir être pkçé;ici. æ
G’e^t; p o i s s o n - t p l e s - caractères du genre; ses
grandes dents inférieures : sont au nombre de six sa première
dorsale, un*peu plus haute que le tronc, a neuf rayons, dont le
premier se prolonge en un fil du double de la hauteur des atprès;
sa1;vehtilde ne k i t pas l’entohnoir, est un peu bilobée.
D. 9 — 1/12, le dernier dou£Ié> A. Ëe&jyag&æg jpP^'
Sa surface n’est nullement tuberculeuse; ôn V|£t quelques points
blancs susses parties inférieures. Sa première dorsale est noire,
bordqp d f blanc; sa mémhrane-entre les trois premiers rayons est
rouge, et il y a quelque mélange de blase vers l’arrière. La seconde
est blanche, avec deux bandes longitudinales n'oirêspil y à-une
grande k ^ e eoideur de rouille Sür kpéctéfafe
La figure le fait paraître long do deux pdi&fes1 trois ligues.
J L ^ P I r iophthalme d e -F reycinet:
( Peridphthàlmüs W e fcih é iijn o b .)
Suivant l’exemple de nos prédéces|êüi$',s nous nomme^
rous cette espèce d’apr^ Je voyageur à qui noqs 1^ devoW;
l’individu que possède le Cabinet du Roi^ a ete tue duu
1. Buchanan jute pu déçouyrir aucun rayon aux oi$es, ce qài prouve qû|il çfeni
pan exercé à la dissection.
ÇHAPr; XW 1 .: B 0 E É <© *» TH A LM E S . 449
^isil^jSiyç.l^kords.de la riyi,ère,de?Babao à Timor,
par M. le capitaine Ffneycine.t, pendant son voyage autour
du monde.
Elle ressembler beaucoup y ’pour les, formes, au pêriophthalme
; Sohlosser ,v mai& le. corps est un peu, plus alongé; sa hauteur est à
peu près six fois' et demie dans s,a, longueur. Ses yeux sont moins
gros, et sesdents, stjrtout lqs supérieures, sqnt plus longues; et
c e qui la distingue surtout! c’est qu’elle n’a que quatre rayons à
sa première "dorsale, laquelle est aussi haute que ,ïe corps, mais
quatre fois nioinsrld^ü e rqUë hâfoté.!i!
D. 4 — i f i é f L iin \ etc.
Dans'la liqüeûr‘ cé pêisscih4'paraît d’un b rün noirâtre assez uni-
forinè. Le bord supérieur des deux dorsales est blanchâtre.
L’individu est long de sept pouces.
DES BOLÉOPHTHALMES.
. Je sépare d'es ’ périophthalmes cërtains gobioïdes, en
partie confondus âvec eux jusqu’à ce jour, et qui en différent
tà peu près Gomme les apocryptes se distinguent des
gobiesIordinaires, c’eSt-à-dire par leurs dents; celles de la
mâchoire supérieurë* d emeùrant droites et- assez fortes, au
moins au ^milieu ; celles de la mâehoirë inférieure étant
très-fines et' disposées1 horizontalement, excepte deux,
placées plus en dedans, et qui demeurent fortes, pointues
et relevées. ' . Vi’?*
La tête des b oléophthalmes est plus oblongue et n’a
pas le profil du museau aussi haut, ni aussi vertical que
celui des périophthalmes; leur# écaillés sont petites et
quelquefois imperceptibles; leur première dorsale ne passe