5S6 Li YRTa 5-xyi' - ■piu’föa ie lis i péïspöIjlêes»
- : sans Compter la caudale ; Celle - c i , ronde$ est six fois et demie
>^dans l^longùeufUü^fle. bl n’yïaqfoisitdé tentacule ’Sür 1’oeil ; point
- à la peau qui recouvre l’ahgte;de lïntèf maxillaire. On voit Cependant
quelques» traces îde lambeaux le long du' bord dje te |èfae,
■ au-dessous dsrPoeil et sur l’opercule; en dessous», il n’y a cjuè’ de
9 - très*-petites ; frpnges cutanées’, et elles sont peu» nombreuses. G6 tqui
a ! l caractérise;} déjà; cette espèce à ilextérieur, c’est le * Réseau i qui est
a I jeté sur toute kpartie» antérieure de te tête, et qui ressemble t’ôut-
' à-fait à un gâteau d’abeilles. J
Les..dents’ sont obtuses ,siir» les mâchoires. Sur le chevron| du
vpmer et sur te partie antérieqje du palatin, il y a une bande étroite
? :: 'et courte de petites délits arrondies en.' tubercules mousses.
; î | iOû né tràüvÆ; que» trois «épines i à i ’ahgle de 4’Operçule.
Tout cepôissonieStmarbrépârde grandes taches 'noires et bien
tranchées sur un fond jaunâtre. Çes marbrures "forment deux-
^ .grandes ta|30(æ 'iijj;^ulièf^ ,sqj;-jlç? tepi^§,, qai descendent çu| les
côtes du -c^w^JLea bujre?:^rment^cpiatre , bandes plus
. ou moins foncées. La, troisième paraît devoir- être. constamment
divise! .en deux. Sur,le bóut du museau les marbrures, forment
une sôrté dè~ resëati.^ Lés nâgéôîreb Sont tecBbfceés'de iroic,
M. Delatande nous a fait connàîtrd l’existence do cette
espèce au Cap . eu en rapportant un individu de deux
pôuces et demi de. longj depuis, M. Haynaud la retrouvé
dans cette,mer, et y a priâ uù. individu long de quatre
pou|es,?;„
Le BaïSAchoïde tau.
(Batrachus tau, nob.’y j&adiis tow, Lmn.; Lopkius ôa/ô^Mitchifl.)
Nous venons .dé »dire que. les cotes de l’Amérique fsur
l’Atlantique possèdent un batrachoïder très-semblable à
celui des Indes.- •
' CHAP. IV. BATRACÛOÏnES. 355T
II en A, en éffét, toutes les formes jusque1 dans le moindre
détail.1 Sa’ peau, Ses barbillons, les lambeaux de ses sourcils, sont
semblables; mais il a vingt - six ou ving-sept rayons à 1a deuxième
dorsale ; et vingt-deux à l’anale.
f Ses’ dents sont un peu plus fortes. Les épines de sa première
dbrsalê; plus saillantes, forment une véritable petite nageoire. Les
pectorales sont rondes et non pas oVÿles, et ses couleurs sont plus
sombres. Iiv est gris-brun, marbré et tacheté par nuages de brun
noirâtre. Ces taches’ sont, diversement configurées : tantôt plus
grandes, moins nombreuses, tantôt plus étendues et-divisées en
petites ondulations ; mais, elles n’qnt point ces apparences de marbrures
tr'anchéès q’u’ôn leur voit sur l’espèce des Indes. La dorsale
a aussi sept bandes :nGirâtres,.rnàis plu* obliques que dans le pré-
cédent. L’anale. âcinq de cês bandes, et les intervalles sont quelquefois
teints- dé jaune; Les lignés sur le* pectorales, les bandes
sur 1a eaüdale ef ^ar les ventrales, djfièrent peu de ce qu’on voit
dans notre première espèce. La gorge et 1a poitrine sont quelquefois
grises, quelquefois blanchâtres.
B, 6 5 D. 3 4 - S6, 21 ou 28) JL 22; G. 14 ; P. 20 5 V. 1/2;
Le batrachus tau a lé foie plus gros que les autres jbatf achoïdes,
divisé , en deux lobes principaux, partagé en plusieurs autres plus
. petits et comme frangés. Celui que fon péut appeler le droit, est
plus grand que l’autre. La vésicule du fiel est petite, et le canal
cholédoque*médiocrement long, j
* L ’oesophage est. court!, renflé, comme arrondi Un lëgeretran-
glemênt .ma^ue % ‘ c^rdiaT^Pûis Vièht l’estomac, qui ressemble à
une petite bouteille renVerséé. A l’extrémité de son col est lê pylore,
auprès du’quër s’ôùvre le canfd cholédoque.
L’intestin fait sept à-huit ondulations avant de se rendre à l’anus.
Le duodénum est:très-large, plus, que l!éstomaè. L’intestin devient
ensuite assezjétrqit, et il se' dilate enfin en un large rectum.
La rate est petite, ovale, rouge, placée à gauche du pylore. Les
Ovaires sont deux sacs » cylindriques occupant 1a seconde moitié
de l’abdomen; ils sont remplis d’oetete trèsrgros.