Dans la> liqueur ce^pèisfion: paraît brun en dessus, plus pale en
dessous] avec une teinte légèrement argentée aux flancs. Un indi-
vidù a sùf le brun beaucoup de très-petits. cercles un peu plus
foncés, mais à peineappaxens.Sapremière:dorsal'e a un large ocelle
- noir , entouré de blanc, et lanale un . bofd noirâtre ; un autre
individu, dont le: :brom~est*plus uniformeyAïôGeBft'fc«t;.|pe£fc « *
tout au bord de la nageoire. Son anale est toute blanchâtre. Ce
sont probablement des signes de sexes! Dans tous' les <Jeiix v la
seconde dorsale ét la ctfudale otit de fines marbrures grisâtres ; les
autres nageoires Jûnt grises.
L e ' GallIoïïym é 'ja po n a is . '
j (Gàllionjmus japonickiSj Houttuyn.)3
Ce^,aupr^(^e,mcallionyme à. eprnes -courbqs que doit
être placée ïespèçe du Japon, indiqqée.par Houtyiyn, et
que nous narrions jamais pu reconnaître ni rapprocher
de ses congénères, san3 la complaisance de ME. Lichtenstein.
Ce poisson est un de ceux que M. Langsdorff aoedés
au Cabinet de Berlin et que j’y; ai observés.
, Sa ^êjte .ressemble beaucoup
pour ses proportions.: propres que sous-le rapport de leur comparaison
àyeç le corps. La. corne courbée est plus courte qu’à l’autre
espèce, et la patte d’oie m’a que trois épines haqtb et^de„plus,
celle-ci est dirigée en avant comme dans les .autres- calliônymes.
L’an^l,e postérieur de forbite porte une., petite épjnejdirjigée^en
avant. La caudale de l’individu que nous décevons, . étant un peu
f-çasisqe, nous ne pouvons pas sayoiy quelle était sa longueur, qui
devrait être . considérable : d’après les expressions d’Houttuyn, qui
dit : couda rnultum eïongata.
La première dorsale,ÿe^î basse et triangulaire; la seconde est
aussi longue que l’analé. • : ;,
'Cette description . est faite : sur, un individu desséché,
de quatlê potïdès'êtidëmi, déposé dans ;l§\€&biftet dé Iüni-
yersité de Berlin’, sous le nom jabonais àë uràtsvM.
Dans'son état de dessiccation il paraît uniformément
brun, avéc du nqif à la dorsale] mais il y â lieu dé croire
ique ce poisson, frâïsrjpl&hit quelques taches ou points', car
®. Langsdorff, qui le rapportait au genre des platÿcéphales,
lui avait reonûé lé|)ithète d e pithetàïus.:J
‘■El? Ca* tL I 0 N'YME^yLÈCHE.
b ' ; - » / , J P&lla?. ),
Cetlfe esp‘$®$, quLnÔns» a été’ *êuvêfÿéè?de Pondîchëlrÿj
çst beaucoup plus cour ter et plus large de l’avant que la
précédente. /;
La 'largeur de sa fetè!,'pnsferfentre fePbasës ' ‘de deux-épines
pvéopèrtMlairès,, ë'galMpresque sæÜOïiguëpr’ lîfieStmêei du bout du
museau aux-'extrémités des» Qpércufesi; -et' cfette ldngueurrm’est que
- trois foisetdeïiie dans d|Be du-o(|rps: La.',tête; n’a ep hauteur que
■ le quart d'e' saj-^qngueur^Le, mu-seau est obtus; Les vCUf à la surface
supérieure ,'du cinquièmes envirdfrde îa l(|ug^m de la tête,
et à'pareille distance diji,hput du pmseau, ,n%nl entr^ eüx que le
tiers dg§|pr,-dîamètre.J^sprod^idns dupréop^reule me se.récour-
bent pas vers.|'e fiaut ; marsvecarttîit un peiPéh*oe^4ùWén demeurant
horizontales^iet oml)quatre!et.quelquefois Gimtÿpgint.es)^ dom?trois se
dirigeççie^îe dp&sus^ejlâ tête; il-^a.de plus à, la base (une petite
épine ÿécurr^n|e^p)tmnie i^’orilip^^ T^utleLrQac e$t depnme.
La. première dors^e es^ extrêmemeat ’petite; la deuxième n’a
qu’une^auteur^m^djp^ç^S’, et.se termine un peu e^pqmte, ainsi
que l ’anale. La caudale est,,tronquee,,et n^faiyque le cinquième de
la lohgueu&|atale.,
ï>. 4 9 j A.^9 glg JO
Dans la liqueur ce petit poisson paraît d’un fauve clajr; tout le
dessus èst bariolé par de petits cercles hruns, et de petits points
i i i • ■ h